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• Les moyens pour correspondre : les cartes de correspondance
• L'édition des cartes postales réglementées
• Le rétablissement de la franchise militaire : une décision importante
• La situation au début du conflit
• L'organisation du service postal en septembre 1914
• Une gestion du courrier minutieuse et chronophage
• La réforme de l'organisation du service des postes de l'automne 1914
• La séparation des services financiers et postaux
• Le bureau central militaire : clé de voûte de l'organisation postale
• Les secteurs postaux, une invention brillante
• Les trains postaux
• Une amélioration de l'organisation qui se poursuit
• Des situations particulières
• Vaguemestre : une fonction technique et enviée
• "le destinataire n'a pu être joint en temps utile"
• Les reliques des champs de bataille
• La correspondance des unités médicales et des soldats hospitalisés
• La commission militaire de contrôle de la correspondance
• L'espionnage postal
• Lutter contre les "embusqués" : la loi Dalbiez et ses effets
• Les Postes et Télégraphes, une administration qui se féminise
• Des colis au front
• Les paquets recommandés : une démarche peu recommandable
• Les dons impersonnels
• Envoyer des vêtements chauds aux soldats
• L'envoi de colis pour Noël et le jour de l'An
• Pâques, le temps du "messager du réconfort"
• Un coup de pouce américain avant leur entrée en guerre
• Les marraines de guerre et autres sources de correspondance
• Des fraudes, des abus et des pratiques mercantiles
• Les prémices de l'Aéropostale
• Et après l'armistice
• La correspondance avec les prisonniers de guerre
• L'Agence des prisonniers de guerre
• Écrire du camp vers la France
• Et de la France vers les camps
• Franchise postale et coût d'expédition
• L'envoi des colis aux prisonniers de guerre
• La nourriture officielle des prisonniers français
• Marchandises autorisées et emballage des colis
• Colis pour les fêtes de fin d'année
• L'envoi du pain aux prisonniers
• Les marraines de guerre
• Le contrôle postal : la censure vers ou en provenance de l'étranger
• La correspondance avec la zone envahie
• Avis contradictoires : peut-on ou non écrire en zone envahie au début de la guerre
• L'intervention des associations et des pays neutres pour cette correspondance
• Fin 1915 : un premier questionnaire officiel
• Février 1916 : un premier accord officiel
• L'intervention du gouvernement des autorités militaires
• Une carte modélisée
• Une commission cd hoc
• Un projet de largage de bulletins par avion
• De la zone envahie à la zone libérée : un retour progressif à la normale.

"Durant la Grande Guerre, la correspondance était souvent - le seul lien qu'avaient les soldats avec leurs proches, ave leur ville ou leur village, à l'exception des zones occupées hermétiquement fermées. Les lettres apportaient, des nouvelles, en donnaient, mais étaient aussi une échappatoire sur le front comme à l'arrière. Les colis, quant à eux, répondaient aux besoins fondamentaux des Poilus et des prisonniers. Dès le début du conflit, l'envoi et la réception des lettres et des colis s'impose comme un enjeu de défense nationale, participant du maintien du moral des troupes et de l'arrière. À tel point que le fonctionnement obsolète et inefficace de la Poste aux armées souleva un tollé de la population en 1914 et amena l'État à revoir rapidement son organisation. Après S'écrire dans la Grande Guerre, Jean-François Saint-Bastien réinvestit la correspondance pendant le premier conflit mondial. Il propose de comprendre comment les services de la Poste aux armées ont évolué et les difficultés que les autorités ont dû affronter. Au-delà des aspects techniques ou logistiques, son ouvrage nous renseigne sur le quotidien d'un pays en guerre à travers ce lien qu'étaient le courrier et les colis."--Page 4 of cover.

• Départ et revanche
• Des régiments et des batailles
• Les chants de marche régimentaires
• Hommage aux unités sanitaires
• Chanter les grandes batailles
• Des hommes et des armes
• Qu'est-ce qu'un Poilu ?
• Des armes : sur terre, dans les airs et en mer
• La vie au front
• Les tranchées
• Boire, manger, se divertir
• Rêver, s'évader en pensées...
• La correspondance
• Blessés et morts pour la France
• À l'arrière
• Les hommes à l'arrière
• Les embusqués
• Des lettres et des prières
• Propagande et antigermanisme
• La France et les Françaises
• Les enfants, prétexte de propagande...
• Noël
• Antigermanisme
• Vers la victoire
• Les Marseillaise.

"A la Belle Époque, la TSF n'en est encore qu'à ses balbutiements et la chanson est un vecteur de diffusion à part entière. Elle traite de tous les sujets du quotidien. Sa diffusion se fait oralement dans les cafés, les théâtres, ou tout simplement dans la rue. Les partitions sont imprimées par des éditeurs et parfois vendues directement par les chanteurs eux-mêmes. La Grande Guerre va offrir de nouveaux sujets aux compositeurs. On estime à environ 30 000 le nombre de chansons écrites au front ou à l'arrière par des auteurs déjà renommés ou d'illustres inconnus. Certaines sont des créations, avec une musique originale, mais beaucoup sont écrites sur un air déjà fredonné par tous. Avec plus de 130 chansons au texte intégralement reproduit, Jean-François Saint-Bastien retrace la vie des poilus et de ceux de l'arrière durant la première guerre mondiale. Humoristiques, dramatiques, poétiques, propagandistes, contestataires, ces chants commentés par l'auteur vous replongeront dans l'univers des tranchées..."--Page 4 of cover.