%{search_type} search results

• Le départ. - Adieu Lorient ! - Traversée sans- intérêt. - Saigon. Surprise désagréable. - Une expédition au Tong-kin. - Délivrance. Shanghaï. - Nagasaki. - La mer intérieure
• Yokohama. Projets. - Yeddo. - La mission militaire française. - Courses dans la capitale
• Le Benten. - Les marchands japonais. - Marcel. - O-Hana-san. - Un père obéissant. - Une aimable famille. - Divers achats. - Nos nouveaux amis
• Petit voyage à Yeddo. - Revue du Mikado. - Retour à Yokohama. - Leçons de japonais. - Leçons de français. - Mitani-san. - Dannasan. - Conversation sur le vieux Japon
• Un bonze. - Prières à bon marché. - Deux religions en présence. - Abandon du culte. - Indifférence religieuse. - Pauvreté des ministres. - Un dieu guérisseur. - Quelques coutumes religieuses. - Les naissances. - Les funérailles. - La crémation. - L'opinion de Mitani. - Le renard et les filles du Japon. - Tendres aveux
• Indécision. - Vie heureuse. - Le théâtre. - Les actrices. - Un mot en passant sur, la femme au Japon. - Rectification d'une idée fausse. - Deux représentations. - Théâtre d'hommes, théâtre de femmes. - Un drame émouvant, un vaudeville au gros sel
• Le chamicen. - Concerts nocturnes. - Amour ! amour ! - La fleur du Benten. - Un portrait de Japonaise. - La coiffure des femmes. - Bouderies. - Explications
• Invitation à une noce. - Les nouvelles lois ; paroles oiseuses ; de l'adoption et du mariage ; du divorce au Japon. - Une bonne histoire. - Mitani n'est pas content. - Nous irons à la noce
• La vallée du Mississippi japonais. - Un mariage suivant les anciens rites
• Promenade imprévue. - Aperçu historique. - Départ pour Nikko. - Kanda-bachi-outchi. - Des moyens de transport au Japon, autrefois et maintenant. - Sengakoudji. - Histoire à faire dresser les cheveux sur la tête. - Le harakiri
• En route. - Nikko. - Les lits au Japon. - Excursion au lac Tchouzenji. - Touchante histoire ; naïveté, fidélité; - Un pont fantastique. - Le temple de Iyeyas. - L'Exposition. - Le tombeau du grand homme
• Réveil en sursauta - Un tremblement de terre. - La plaie du Japon. - Comment on combat les incendies. - Visite à différents temples. - Monuments funéraires. - L'échiquier japonais ; comparaison hasardée ; devine, devinaille. - Le tombeau d'un cheval célèbre. - Adieu Nikko
• Retour. - Les Etta. - Guenzaburo. - L'Otokodaté. - Journée de cahots. Nuit en barque japonaise. - Une visiteuse importune. - Retour à Yeddo. - Rentrée à Yokohama
• Une journée chez Mitani. - Le jeune couple - Mauvaise plaisanterie, explications. - Coutumes diverses ; éducation des enfants, opinion de Danna-san. - Collection de sabres ; quelques prix. - Les fabricants d'armes au Japon. - Un sabre historique. - Les Hatamoto. - Projet de promenade à Kamakoura
• Le commerce au Japon : importations, exportations. - La soie ; déplorable calcul. - Les laques ; l'amour du lucre tue l'art. - À quelle époque remonte l'art de laquer. - Culture de l'arbre à laque ; les pays où il prospère. - De la fabrication des laques. - Essor donné à l'agriculture
• Kamakoura. - Pas un mot du Daibouts. - Les lutteurs. - Une lutte mémorable. - Promenade sentimentale - De pieuses pèlerines. - Le chemin de croix japonais. - Dîner charmant. - Départ imprévu

• Rappel en. Chine. - Séparation. - Lettre d'O-Hana. - Kobé. - Osaka. - Soirée dans une yado-ya. - Divin charnu bertin ! Les Guécha. - Une chibaï-ya. - Bain en nombreuse société. - D'Osaka à Foushimi en bateau à vapeur. - Traversée accidentée. - Conversations diverses. - Flegme japonais. Arrivée à Kyoto. Marouyarna
• Première journée. - Kyoto à vol d'oiseau. - Nos hommes-chevaux. - Yas. - Procession japonaise. - Visite à l'exposition. - Le Goshio. - Laques admirables, vieilleries célestes, péché d'envie. - Rude assaut à ma bourse. - Un poisson monstre ; puissance de l'or. - Déjeuner à la japonaise. - Ginkakoudji. - Quelques temples. - Tchion-in. - Une cloche gigantesque. - La tour de Yasaka. - Kiomidzou. - Yas raconte une histoire. - Higachi-otani. - Coucher de soleil. - Rentrée à l'hôtel. Heureuse rencontre
• Rires inextinguibles. - Théâtre de mimes. - Promenade dans les coulisses
• Deuxième journée : Biwa-otsou. - Excursion sur le lac. - Un arbre curieux. - Séta. - Le temple d'Ichiyama. - La poétesse Korna-ti : légende. - Hi-éizan. - Une page d'histoire. - Quelques erreurs corrigées à l'aide du livre de Ma-tuan-lin.- Conversation instructive. - Origine fabuleuse du Japon. - Réflexions judicieuses. - Les Aïno
• Troisième journée : pluie et boue. - Le Daïbouts de Kyoto. - Mimizouka. - Haine séculaire contre la Corée. - Rengeoïn. - Le temple des 33,033 statues. - Taïko le Grand. - Retour à Foushimi. - Désappointement. - Yas se débrouille. - Voyage en barque. - Rentrée au bercail
• Encore la mer intérieure. - Nagasaki, les cerfs-volants. - Un plat pour le mikado de France. - Le chat de Nabéshima : légende. - Traversée monotone
• Shanghaï. - Colonie japonaise. - Visite inattendue. - Débarquée et rembarquée en moins de douze heures. - Les hallucinations de l'ami Marcel. - Rêve et réalité. Le Yang-tse-kiang. - Villes chinoises. - Nang-kin : la tour de porcelaine, ce qu'il en reste. - Tche-foo. - Retour à Yokohama
• O-Hana n'est pas rentrée. ? Pauvres parents ! - Révélations ; scélérat de Marcel ! - Diplomatie de Danna-san. - Le douanier est décidément un grand homme. - On ira chercher la fugitive. - Départ pour le Fouzi-yama. - Le Tokaïdo. - Sur la route. - Drolatique histoire de renard
• En kango.- Le lac de Hakoné. - Hospitalité écossaise. - Aimable compagnon de voyage. - Kosan et Kingoro. - Poussière et cailloux. - Nuit fraîche. - Le cratère. Les douze provinces. - Retour à Hakoné
• Pauvre O-Hana ! ConClusion. - Pauvre Marcel ! - Le cheval sent l'écurie. - Un Breton entêté. - Salut, Lorient !

"Avec l'ère Meiji (1868), après deux siècles de clôture, le Japon s'ouvre au monde. En octobre 1867, à l'âge de 22 ans, Maurice Dubard s'engage dans la Marine française. La mission militaire à laquelle il participe a pour but de contribuer à doter le Japon d'une armée moderne. Avec l'un de ses collègues, Marcel, le jeune homme sillonne donc les principales villes de l'archipel. Mais son projet d'écriture est loin des armes et des uniformes, loin des bureaux administratifs et des fabriques. À l'instar du célèbre Japoneries d'automne de Pierre Loti, Maurice Dubard s'emploie à peindre en une série de tableaux et de saynètes ce Japon des années 1870. Sa passion se porte aussi bien sur la culture matérielle ancestrale de l'Empire que sur l'énergie débordante de la jeunesse nippone. Conteur formidable, Dubard ne cesse d'osciller entre ce passé et le présent. Son récit de voyage est absolument contemporain du rapprochement entre l'Europe et le Japon."--Page 4 of cover.

• Une enfance terrienne
• Le dernier de la classe
• Les premières armes
• L'escadre Courbet
• Le retour à Lectoure
• L'amiral
• L'affaire des poudres
• Le ministre
• L'amiralissime
• Les déceptions.

"Gaston Boué de Lapeyrère entra dans la marine à l'époque où Jules Verne publie ses premiers Voyages extraordinaires. Sorti dernier de sa promotion de l'Ecole navale, sévèrement noté par ses supérieurs comme peu doué pour le métier de marin, il fut trente ans plus tard le plus jeune vice-amiral de sa génération. Lui qui détestait la bureaucratie devint un remarquable ministre de la Marine, artisan du redressement de la flotte juste avant la Première guerre mondiale. Il fut enfin le seul exemple dans l'histoire "d'amiralissime" français commandant une armée navale alliée franco-anglaise. S'appuyant sur des sources inédites, ce livre est la première biographie de l'amiral Boué de Lapeyrère, Gascon haut en couleur, marin intrépide, technicien visionnaire, ami d'Aristide Briand et de Pierre Loti, dont la vie ne fut pas non plus épargnée par les drames et les déceptions. Il est aussi la peinture d'une époque, celle de la Troisième République colonialiste, celle de l'Entente cordiale et dés crises, jusqu'à l'étincelle de Sarajevo de juillet 1914."--Page 4 of cover.

• Une famille de Bretagne
• Premiers embarquements
• Prairial
• Croisières, expéditions, 1794
• Mission en Martinique puis en Isle de France
• L'affaire Poulo Aor et ses suites
• Trafalgar (1805)
• Mission à travers l'Espagne de 1808
• Combats dans les Mascareignes en 1809
• Combats pour l'île de France (Île Maurice) en 1810
• Reprise de possession des Antilles (1814)
• La Guerrière
• Commandement de la station du Brésil et de la Mer du Sud (janvier 1827-mars 1830)
• Préfecture maritime de Cherbourg (5 mars 1831-1er mai 1836)
• Derniers postes en responsabilité
• Une famille de marins
• Épilogue d'un grand marin.

"Issu d'une ancienne famille bretonne, René-Constant Le Marant de Kerdaniel s'engage à 13 ans dans la Marine, en pleine Révolution et gravit rapidement les échelons qui vont le voir participer à la bataille de Prairial (1793). Il découvre ensuite la Martinique puis l'océan Indien avec l'amiral Linois. Promu lieutenant de vaisseau, René-Constant participe à la bataille de Trafalgar sur le Héros. Capitaine de frégate en 1808, à l'issue d'une dangereuse mission en Espagne, il commande la frégate V Astrée dans l'océan Indien où il participe aux dernières opérations navales (bataille du Grand Port...), avant la capitulation de l'île de France devant les Anglais en 1810. Il se marie à Port-Louis avec une jolie créole. Capitaine de vaisseau, il participe à la reprise des Antilles par la France en 1814. Commandant la frégate la Guerrière, il réussit la prise d'Algésiras en 1823 et est promu contre-amiral. Commandant la station du Brésil auprès de Dom Pedro Ier, empereur du Brésil, et puis de la mer du Sud (1826-1830), il vient conforter l'État-major de ses hautes qualités. Vice-amiral en 1836, préfet maritime à Cherbourg, il part à la retraite en 1845. Cet ouvrage décrit les péripéties sur mer et sur terre de René-Constant, mousse à 13 ans, contre-amiral à 59 ans grâce à sa valeureuse contribution à l'histoire de notre Marine et de notre patrie."--Page 4 of cover.

• La Tremblade en 1793
• Les Coudein, une famille de marins protestants
• L'enfance de Jean-Daniel Coudein
• L'apprentissage de la mer
• L'embarquement sur la Méduse
• De l'appareillage à l'échouement
• Les tentatives de renflouement
• L'évacuation de la Méduse
• L'abandon du radeau
• L'odyssée du radeau
• Les naufragés des canots et de l'épave
• Les suites du naufrage de la Méduse
• Coudein, enseigne de vaisseau
• Coudein, lieutenant de vaisseau
• Coudein, capitaine de corvette
• Coudein, capitaine de vaisseau
• La lignée Coudein
• Annexe 1 : Ascendance paternelle de Jean-Daniel Coudein
• Annexe 2 : Ascendance maternelle de Jean-Daniel Coudein
• Annexe 3 : Descendance de Jean-Daniel Coudein
• Annexe 4 : Descendance de Pierre Coudein (né en 1649 à Étaules)
• Annexe 5 : Chronologie de la vie de Jean-Daniel Coudein
• Annexe 6 : Liste des survivants du radeau de la Méduse
• Bibliographie sommaire.

"Jean-Daniel Coudein, officier de marine de la première moitié du XIXe siècle, doit certainement sa notoriété à l'épisode du radeau de la Méduse, et à son génial metteur en scène, Géricault. Il fit pourtant une carrière complète et honorable dans la Royale, commencée à l'âge de dix ans comme mousse, sous le Consulat, terminée au début du Second Empire, capitaine de vaisseau et major du port de Rochefort. La biographie de Didier Jung est de fait la première consacrée à Jean-Daniel Coudein. L'auteur fait la part belle au pays qui l'a vu naître. La Tremblade, dans le pays d'Aryen, est un berceau de marins depuis des siècles, pour la pêche, le commerce, la marine de guerre, sans oublier la course. Coudein a de nombreux officiers et commandants de bord parmi ses ancêtres. Dont son père, qui le prend avec lui comme mousse en 1803. Les Coudein sont également représentatifs de leur région car c'est une vieille famille de protestants. Profondément ancrée dans la Saintonge maritime, l'histoire de Jean-Daniel Coudein a rejoint l'histoire nationale par le destin qui le conduisit à commander le fameux radeau de la Méduse."--Page 4 of cover.

• Une famille bretonne de la fin du XVIIIe siècle nombreuse et unie
• La famille Cosmao
• La famille Cuzon
• Les enfants du notaire Jacques Cosmao
• Des débuts prometteurs dans la marine royale (1776-1781)
• Premières expériences (1776-1777)
• Début de la guerre d'indépendance américaine (1778-1781)
• Officier dans la marine royale (1781-1792)
• Fin de la guerre d'indépendance américaine (1781-1783)
• Retour à la paix (1783 1786)
• Nouveau statut d'officier (1786 1789)
• Début de la révolution (1789 1792)
• Opérations contre l'Italie et la Sardaigne (1792-1793)
• Capitaine de vaisseau de la république à l'empire (1793-1805)
• Le siège de Toulon (1793)
• Deux campagnes sous les ordres du contre-amiral Martin (1794-1795)
• Retour à Brest (1796-1797)
• Brest - méditerranée - saint Domingue les Antilles Toulon (1798 1804)
• Aboukir (1798)
• "L'incohérente promenade de l'amiral Bruix" (1799)
• L'expédition de Saint-Domingue (1801-1802)
• Campagne aux Antilles (1802-1804)
• L'escadre de la méditerranée (1804)
• L'année 1805 : Cosmao Kerjulien sort de l'ombre
• La fausse sortie du 18 janvier 1805
• Rendez-vous manqué aux Antilles (printemps 1805)
• De Toulon aux anTilles (30 mars 1805 14 mai 1805)
• Le Pluton (74)
• L'appareillage (30 mars 1805).
• La traversée de l'Atlantique
• La reconquête du rocher du diamant (30 mai 2 juin 1805)
• Le retour en Europe (juin juillet 1805)
• La bataille du cap Finistère (22 juillet 1805)
• L'échec du projet d'invasion de l'Angleterre (août 1805)
• En attendant la bataille : Cadix (septembre octobre 1805)
• Trafalgar : une bataille coûteuse et inutile (21 octobre 1805)
• L'appareillage (19-20 octobre 1805)
• Les préliminaires (21 octobre 1805)
• La bataille dans son ensemble (lundi 21 octobre 1805)
• La tactique des deux adversaires
• Percées et écrasement du centre
• Destruction de l'arrière-garde.
• Réaction tardive et esquive de l'avant-garde
• L'action du Pluton
• La fin de la bataille
• Le sursaut du 23 octobre 1805 au large de rota
• Les tristes lendemains à Cadix (novembre 1805 juillet 1806)
• Les récompenses
• Le titre de grand d'Espagne
• Le destin des navires rescapés
• Amiral de l'empire (1806-1814)
• A la tête de l'escadre de la méditerranée (1806-1808)
• L'expédition de Corfou (1808)
• Le ravitaillement de Barcelone (avril 1809)
• L'escadre de la méditerranée sous Ganteaume et allemand (1808-1811)
• Conseil de guerre pour le contre-amiral Dumanoir (1810)
• Baron de l'empire (1810)
• L'escadre de l'Escaut (1811-1813)
• Drame familial à Anvers (1813)
• La manoeuvre du Wagram (5 novembre 1813)
• Le dernier combat du 13 février 1814 - combat du Romulus
• la première restauration et les cent jours (1814-1815)
• Commandant de l'escadre de la méditerranée (avril août 1814)
• Evacuation de Corfou (juin 1814)
• Le dernier embarquement - retour sur Brest (août 1814 avril 1815)
• Préfet maritime de Brest (avril juillet 1815) et pair de France
• la retraite forcée (1815 1825)
• la postérité
• Les héritiers
• La mémoire
• Pour conclure.

"Napoléon a dit de lui qu'il était "le meilleur officier de marine de notre époque." Julien Cosmao Kerjulien, jeune breton né à Châteaulin, s'engage comme mousse alors qu'il n'a pas quinze ans. Rapidement promu officier, il poursuit sa carrière après la guerre d'indépendance américaine et aborde avec confiance la Révolution. Nommé capitaine de vaisseau en 1793, il commande alors de façon presque ininterrompue et avec succès des vaisseaux jusqu'à l'année 1805. Sa conduite pendant la campagne de l'amiral Villeneuve et à Trafalgar lui vaut d'être promu amiral. Sa carrière est interrompue après les Cent Jours alors qu'il est Préfet maritime de Brest et vient d'être nommé Pair de France. Très populaire dans la marine, il est apprécié de ses hommes qui le surnomment "Va de bon coeur" et de ses chefs qui connaissent son allant et ses qualités manoeuvrières. Cette carrière exemplaire et peu connue est la belle histoire humaine d'un marin modeste et attachant, confronté avec honneur à une période difficile pour la France et la marine française."--Page 4 of cover.

• 1886-1908 : La Royale, une vocation familiale
• Repères généalogiques
• Études - École Navale - Service en mer
• 1909-1923 : La Chine, une passion réprimée
• Sur le Grand Fleuve
• De Victor Segalen à Andrée O'Neill
• "La Lettre "
• Mission archéologique et topographique de 1914
• La première guerre ; un premier désaccord
• La correspondance : portrait et autoportrait
• Pour éclairer la mort de Victor Segalen
• Mise au clair des notes de la Mission 1914
• Vicissitudes de la mission archéologique 1923
• 1924-1940 : Servir, un destin brisé
• Retour sur une mission : qui a fait quoi en 1914 ?
• En mémoire de Victor Segalen
• Un marin au ministère de l'Air
• Le 22 juin 1940.

"Jean Lartigue fait partie de ces illustres officiers de marine qui, à côté de leur service dans la Royale, se sont illustrés par leurs talents d'écrivains ou de savants au tournant du XXe siècle. Connu jusque-là par sa longue amitié avec Victor Segalen, la publication de ses Notes d'Étapes (200 a révélé ses travaux archéologiques en Chine, aux côtés et non derrière son ami Segalen. L'intérêt que Chavannes, Pelliot et de nombreux autres sinologues et institutions savantes ont porté aux travaux de Lartigue en témoigne. L'auteur a pu utiliser une très riche collection d'archives et de photographies inédites de Jean Lartigue pour redonner à ce dernier une place souvent occultée par la gloire de Segalen. L'importance de l'amitié et de la relation des deux hommes, leurs échanges littéraires et leurs travaux archéologiques en Chine, sont mis en lumière ici. Les lettres de Segalen à Lartigue, le Journal de ce dernier, éclairent la personnalité de Segalen, et la fin de sa vie, d'un jour nouveau. Une vie remarquable, marquée de l'empreinte chinoise, mais aussi par les deux conflits mondiaux (l'amiral Lartigue meurt en juin 1940) est restituée par Philippe Rodriguez, descendant de la famille Lartigue, et ardent défenseur de la mémoire et de l'oeuvre de son héros, tant par les publications que par le travail fait avec le Musée national des Arts asiatiques-Guimet."--P. [4] of cover.

Napoleon's youngest brother, Jerome, has over the centuries been potrayed as a military commander who was completly incompetent and unimportant to his famous sibling. This biography offers a retelling of Jerome's career using previously unpublished material.
(source: Nielsen Book Data)