%{search_type} search results

• Les débuts de la Ie République
• La naissance de la Ie République
• Les forces institutionnelles en présence
• Les massacres de septembre 1792
• La Convention, les hommes
• Les premiers mois de la Convention
• Vers un gouvernement révolutionnaire
• La République montagnarde
• La République en danger
• La République soumise à la pression populaire
• Des mesures "extraordinaires"
• Une volonté de laïcisation
• La Révolution se fige
• Le gouvernement révolutionnaire
• La lutte des factions
• L'oeuvre du gouvernement révolutionnaire
• La Révolution est "glacée"
• Les thermidoriens au pouvoir
• Le sens du 9 thermidor
• Qui étaient ces thermidoriens
• L'épuration jacobine
• Les violences contre-révolutionnaires
• La destruction de l'armature gouvernementale de l'an II.
• Une bien sombre conjoncture
• La République thermidorienne
• L'hiver de l'an III, cortège de drames et de misère
• Réponses des autorités thermidoriennes
• L'exaspération grandit, la journée du 12 germinal an III
• Des solutions
• La journée du 1' prairial et ses conséquences
• 5 octobre 1795, le coup d'Etat de Vendémiaire
• Les élections de l'an IV (octobre 1795)
• Les débuts de la République directoriale, la crise babouviste
• Sur fond de crise, les premiers pas du Directoire
• Une conjoncture peu favorable, la crise de l'an IV (septembre 1795-septembre 1796)
• Le Directoire face à Babeuf et aux babouvistes
• La conjuration des Egaux
• La répression immédiate
• La République directoriale face à la Contre-Révolution et le royalisme
• Une opposition royaliste dépitée après 1795
• Coup de force ou élections
• Six mois de crise
• Le coup d'Etat de fructidor an V et ses conséquences immédiates
• Le Second Directoire, autoritarisme et confusion
• La Terreur de l'an VI (septembre 1787-septembre 1798)
• Le coup d'Etat du 22 floréal an VI (11 mai 1798)
• Les élections de l'an VII (1799) et le "coup de Prairial"
• La poussée jacobine
• Les Jacobins de 1799
• La République à la dérive
• L'état d'esprit à l'été 1799
• L'"impossible" révision constitutionnelle
• Le coup d'Etat du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799)
• La mort de la Ie République
• La Constitution de l'an III
• Les conditions de l'élaboration
• Les objectifs de la future Constitution
• L'esprit du Discours préliminaire
• Les exclus, les élus
• Le contenu du texte constitutionnel, les trois pouvoirs
• Le décret des deux tiers
• Les continuités
• République et religion
• L'état des lieux religieux au commencement de la Révolution
• La Constitution civile du clergé et ses conséquences
• Après le 10 août 1792, vers une radicalisation "déchristianisatrice"
• Le culte de l'Etre suprême ne règle pas le problème
• Aux origines de la laïcité
• Des atermoiements jusqu'au 18 fructidor
• La théophilanthropie et les fêtes décadaires
• Des continuités
• Une mission républicaine : l'enseignement
• Les débats des Lumières
• La rupture révolutionnaire
• Les visées pédagogiques de la Convention
• L'héritage de l'an II
• Les réalisations de la République directoriale

• La scolarisation des filles, une faiblesse et/ou un désintérêt
• L'école de la r République
• Élaboration, diffusion, transmission des savoirs
• Un grand chambardement
• Une pensée qui s'impose, l'Idéologie
• Les réalisations pratiques de la République
• La création de l'Institut
• Deux structures originales mais éphémères
• Une élite nouvelle
• Un exemple élitiste de haut niveau : Polytechnique
• La continuité humaine
• Patrimoine, musée, monde des arts et de la culture
• Le patrimoine et son devenir
• Conserver ou pas '?
• Nécessité d'un lieu d'exposition
• Des musées en province ?
• Tout montrer ou trier
• A propos du pillage des pays occupés
• La politique muséale révolutionnaire de la République
• La diffusion des oeuvres
• Arts libérés ou encadrés ?
• Des continuités
• Guerre, conquête et politique coloniale
• Une armée nationale et citoyenne
• De la défense du territoire vers des frontières "naturelles"
• Les décisions échappent au pouvoir exécutif
• La politique personnelle de Bonaparte et les républiques soeurs
• De l'admiration au mépris de la Grande Nation
• La campagne d'Egypte à l'origine de la deuxième coalition
• De nouvelles républiques soeurs
• Une tentative de réorganisation militaire, la loi Jourdan
• La politique coloniale
• Terreur, manipulation, répression, intimidation
• La terreur et la Terreur
• La Terreur à l'ordre du jour
• La Grande Terreur
• Interprétation et polémiques
• Les thermidoriens et la Terreur
• Une autre forme, l'intimidation
• Réprimer et manipuler, provoquer : les "martyrs de Prairial" et les babouvistes
• La seconde Terreur
• Une continuité ambiguë
• Administration, justice, économie
• Un nouveau découpage territorial : pouvoirs locaux et départementaux
• Les nouveaux cadres administratifs de l'an III
• Financement, imposition, finances
• La justice républicaine
• Les choix économiques
• Des continuités
• La société républicaine
• Une rupture radicale avec l'Ancien Régime
• Un reclassement en cours
• Anciens et nouveaux puissants
• Travailleurs urbains et paysans
• De la marginalité à l'exclusion
• La République face aux démunis
• Une ambiguïté, la place des femmes
• Une société politisée.

"Si quantité d'ouvrages traitent de la Révolution française, tous la découpent ou la morcellent : aucun livre n'a été consacré à la lu' République, proclamée le 22 septembre 1792 et remplacée par le Consulat le 10 novembre 1799.Il s'agit pourtant des fondations de l'expérience républicaine en France, moment où se structure la vie politique de notre pays et dont l'héritage est encore vivant. Ce septennat républicain est constitué par trois séquences : une phase radicale que domine la figure de Robespierre, puis la transition thermidorienne et enfin le Directoire-régime souvent mal connu, régulièrement malmené, pourtant porteur de modernité. Après une première partie événementielle salutaire, qui fait le pont entre ces différentes périodes, Christine Le Bozec dégage les ruptures et les continuités de ce moment fécond de l'histoire de France dans tous les domaines : politique bien sûr, mais aussi culturel, militaire, social... Cette approche éclaire et rend enfin accessible une période aussi foisonnante que passionnante."--P. [4] of cover.

For two centuries, the early years of the French Revolution have inspired countless democratic movements around the world. Yet little attention has been paid to the problems of violence, justice, and repression between the Reign of Terror and the dictatorship of Napoleon Bonaparte. In "Ending the French Revolution", Howard Brown analyzes these years to reveal the true difficulty of founding a liberal democracy in the midst of continual warfare, repeated coups d'etat, and endemic civil strife. Brown argues that despite the ringing slogans of 1789, liberal democracy was not the most significant outcome of the French Revolution. Rather, after years of politicized violence and perverted justice, attempts to impose the republic helped to forge a modern "security state" in its place. The performance of elected magistrates and citizen jurors, especially in the face of wide-spread banditry and regional revolt, led to emergency measures such as martial law and military justice. Brown explores these developments by combining extensive archival research with a wide array of conceptual strategies ranging from political theory to microhistory. By highlighting the role played by violence and fear in generating illiberal politics, "Ending the French Revolution" speaks to the struggles facing democracy in our own age. The result is a fundamentally new understanding of the French Revolution's disappointing outcome.
(source: Nielsen Book Data)

• The Constitution of the Year III
• The post-Terror discourse of moeurs
• Liberal republicanism during the Directory
• A republican empire? : debate on expansion, 1794-99
• Liberal authoritarianism and the Constitution of the Year VIII
• Liberal republicanism and dissent against Bonaparte
• Epilogue: The fate of French liberal republicanism.

• Apprivoiser la république
• La république, un mot, une construction et des modèles
• La République des origines (10 août 1792-21 janvier-6 avril 1793)
• Que signifie "être républicain" en septembre 1792?
• Une pédagogie de la République ?
• Les correspondances des députés auvergnats, entre Assemblée législative et Convention
• Robespierre et la République
• Comment naissent les républiques ?
• La République française : perceptions d'ailleurs (1791-1795)
• Élire la Convention nationale
• Les élections à la Convention dans le département de Seine-et-Oise : un vote déjà "républicain" ?
• Des élections sous la menace de l'invasion. L'exemple meusien
• Élire la Convention : les assemblées primaires de Lorraine 26 août 1792
• Devenir républicain aux Petites Antilles (Guadeloupe, Martinique) à travers l'exemple de l'élection des députés à la Convention
• Devenir républicain pendant l'été 1792. Quelques itinéraires individuels dans la France septentrionale
• Incarner la République? L'élection des Conventionnels dans trois départements méridionaux (Ariège, Aude, Pyrénées-Orientales)
• Avec la collaboration de Julien Bouchet, Sébastien Pivoteau et Jean Salvat
• Une Constitution destinée à recevoir une sanction populaire?
• Le sens d'une décision "de principe"
• Fonder et faire reconnaître le nouveau régime
• Premières prises de parole et débats législatifs à l'aube de la République
• Ces représentants qui ont choisi la république : les Conventionnels des 20 et 21 septembre 1792
• "La France est république" : Comment est né le Nouveau Régime dans Le Patriote français de Brissot
• Valmy, la concordance des temps
• Diplomatie et République : gageure ou impasse ?
• Les procureurs généraux syndics face à la rupture républicaine
• Bénir la République.

"Comment les Français et les Conventionnels sont-ils "devenus républicains" au cours des semaines qui suivent le 21 septembre 1792 ? N'ayant jamais été formellement proclamée, la Première République est-elle un choix par défaut, l'aboutissement d'une maturation née des spécificités du processus révolutionnaire depuis la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, l'ambition d'un dépassement des expériences républicaines antérieures ? Comment les massacres de septembre, le contexte international, la guerre, les relations diplomatiques, l'immigration politique jouent-ils dans le moment électoral, dans la mise en place et la reconnaissance du nouveau régime ? Comment les corps constitués, les groupes d'influence et au premier rang l'Église accueillent-ils celui-ci ? Une Assemblée qui ne comprend qu'une moitié de ses membres a-t-elle la légitimité suffisante pour engager le pays entier dans un autre système politique ? Telles sont quelques-unes des principales questions auxquelles cet ouvrage, fondé sur les recherches les plus récentes menées par des historiens et des juristes français et étrangers, tente de répondre. Si, 220 ans après sa fondation, actualisation et consolidation du pacte républicain sont toujours à l'ordre du jour, l'étude de sa naissance, la compréhension des enjeux politiques, sociaux et culturels qui y ont présidé, demeurent une des conditions de son renforcement."--P. [4] of cover.

• L'ébauche d'une organisation des inspecteurs de la salle (constitutionnelle et législative)
• La montée en puissance de l'administration de l'Assemblée
• Le rôle du Commissaire Guillotin et de ses adjoints Inspecteurs
• Les huissiers : leurs revendications et leur défense face aux attaques
• Le transfert de l'Assemblée : comment assurer son indépendance par rapport au roi ?
• Les raisons du choix des Tuileries comme nouveau siège de l'Assemblée
• Le contrôle des travaux de la salle : la raison d'être du Comité des Inspecteurs
• Le Comité des Inspecteurs : point de passage obligé entre la Convention et les fournisseurs
• Le Comité des Inspecteurs : l'intendance au service des autres comités
• La tutelle du Comité des Inspecteurs sur l'Imprimerie nationale
• Gestion immobilière, surveillance et sécurité de la salle : les attributions de pleine compétence de l'Assemblée
• La difficile succession entre le Ministère de la Maison du roi et les Commissaires de l'Assemblée
• L'accessibilité des tribunes au public : les difficultés de la police des tribunes
• L'ordonnancement et le règlement des factures : des procédures nécessaires pour contenir l'inflation des dépenses publiques
• L'attention soutenue du Comité des inspecteurs sur les appointements des employés et les dépenses de travaux
• Les procédures financières de contrôle des travaux : des interventions coordonnées des techniciens et des Commissaires de l'Assemblée
• L'évolution des attributions des Inspecteurs de la salle sous la Convention
• Naissance du Comité des Inspecteurs de la salle : règles pour leur mandat
• Election et renouvellement : un recrutement purement interne
• Organisation interne : une division des tâches en rapport avec l'extension de leurs missions
• Une administration économique spécialisée dans le contrôle des travaux réalisés au sein de la Convention
• Conflits aigus avec le Ministère de l'Intérieur : problèmes techniques ou méfiance entre pouvoirs concurrents ?
• Un conseil juridique et technique avisé pour résoudre les problèmes soulevés par les entreprises
• Un artisan d'une très judicieuse politique immobilière
• Valorisation du patrimoine immobilier : critères de rentabilité financière associés à des préoccupations sociales
• La prévention des risques d'incendie et d'accidents : une politique résolument moderne
• Une politique stricte d'encadrement des frais de fonctionnement de l'Assemblée
• Les frais de personnel : un encouragement au réajustement des traitements des employés
• Une recherche des économies d'énergie
• Des frais de mission des représentants du peuple : un sujet délicat pour prévenir les abus
• Contrôle hiérarchique du personnel
• La gestion des effectifs
• La discipline dans les bureaux des comités
• les nouvelles attributions du Comité des Inspecteurs politiques, militaires et policières
• Un rôle stratégique pour la sécurité intérieure et extérieure du Palais et du Jardin national
• La police des tribunes et corridors : un espace déjà très médiatisé
• La vigilance jamais démentie du Comité
• Un pouvoir déterminant en matière politique et militaire dans l'emprise du Palais et du Jardin national
• Les raisons de l'échec du corps spécial des militaires invalides
• Un véritable ministère de l'Intérieur chargé de la prévention des manifestations et des atteintes à l'ordre public
• Des chevauchements de compétences avec les autorités policières dans le périmètre de la Convention

• Le Comité des Inspecteurs pouvait-il rivaliser avec le Comité de sûreté générale ?
• Une efficace coopération avec la police parisienne
• Une politique prestigieuse et ambitieuse d'entretien et d'embellissements du Palais et du Jardin national
• La conservation des monuments publics et la réutilisation des biens : une politique voulue par le Comité de salut public
• L'embellissement du Palais et du Jardin national : un projet pharaonique du Comité de salut public
• Protection des fêtes et cérémonies
• La préparation des fêtes et des cérémonies : de nouvelles tâches pour le comité
• La protection des lieux de manifestations publiques : des consignes très rigoureuses
• Les nécessités d'une politique dirigiste
• Nouvelles attributions économiques et politiques Le poids des contraintes économiques et politiques sur les nouvelles attributions du comité
• La précarité des approvisionnements en matières premières
• Des conséquences durables pour le sort du nouveau régime de la politique de récupération et de gestion des dépouilles de l'Eglise
• Les biens d'Eglise : des biens vacants en instance de réappropriation par la Nation
• Un organe de centralisation et de vérification des biens d'Eglise
• Des précautions renforcées pour le transfert aux administrations centrales financières
• L'Imprimerie nationale : un secteur politiquement très sensible (réquisitions)
• Le rôle du comité dans les réquisitions et les négociations salariales avec les ouvriers typographes
• Une mission de contrôle des approvisionnements en papier d'impression
• Les réquisitions : un moyen radical d'assurer les approvisionnements en matières premières
• Les difficultés d'application
• Son rôle de coordination des administrations locales pour les réquisitions et l'acheminement des matières premières
• Le comité au service de la légitimité politique de la Convention
• Un contrôle très stricte des diffusions de textes officiels
• L'impossibilité d'impression des discours ou des défenses de représentants du peuple sans autorisation préalable de la Convention
• Conclusion.

"La Convention nationale, autorité suprême de la République, est connue aussi pour deux de ses comités qui incarnaient le gouvernement révolutionnaire : le Comité de salut public et le Comité de sûreté générale. Ces comités agissaient par délégation de la Convention. Mais d'autres comités existaient, comme le Comité des finances, le Comité militaire, le Comité de législation, le Comité des Inspecteurs de la salle et bien d'autres comités. Plusieurs de ces comités ont fait l'objet de récentes recherches. Or, le Comité des Inspecteurs est un des comités les moins connus, parce qu'il prenait en charge la partie la moins visible de l'iceberg, celle de l'administration générale de la Convention. L'auteur a découvert que le rôle de ce comité était bien plus large que celui d'un comité administratif, qu'il intervenait dans le domaine politique, comme le recensement des biens précieux contenus dans les églises, la tutelle de l'Imprimerie nationale qui diffusait les textes votés, la protection militaire de la Convention nationale contre les manifestations politiques qui pouvaient menacer le Palais et le Jardin national, siège de l'Assemblée (Tuileries)."--P. [4] of cover.