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"L'action se déroule de nos jours au château d'Éparvay, dans l'arrière-pays d'Écorcheville, cité bâtie au bord du Styx. L'esclavage n'y a jamais été aboli. La proximité relative des Enfers entraîne des précipitations insolites, pluies d'animaux et d'insectes divers, ainsi que l'échouage occasionnel de créatures venues de l'autre rive : centaure, sirène, satyre, minotaure... Alphan Bogue, docteur en histoire de l'artrentre à Écorcheville pour s'y marier. Son père, brocanteur à la retraite, le presse de dérober pour lui au château d'Éparvay un autoportrait supposé de Rembrandt adolescent. Spécialiste de la peinture baroque, Alphan s'introduit dans le château pour expertiser le tableautin. Quand il franchit une porte basse donnant sur les soubassements de l'énorme édifice métamorphique, l'aventure commence... L'imaginaire qui se déploie dans ce roman-monde n'a pas d'équivalent dans la littérature française contemporaine. Romancier et nouvelliste, Georges-Olivier Châteaureynaud a été distingué par le prix Renaudot pour La Faculté des songes en 1982 et le Goncourt de la nouvelle pour Singe savant tabassé par deux clowns en 2005. À propos de L'Autre rive, premier volet du diptyque, roman culte qui remporta en 2007 le Grand Prix de l'Imaginaire : "Châteaureynaud, parfait romancier fabulateur." Paris Match Enfin le plaisir d'un vrai roman ! Profond, inventif, tumultueux, généreux..." Livres Hebdo Une inconcevable expérience limite : ce que ne devrait jamais cesser d'être la littérature." La Croix On aborde avec curiosité cette vaste saga aux multiples facettes, puis on se laisse aller à la surprise, à l'étonnement..." Le Monde des Livres Une imagination débordante, une cascade de rebondissements, d'intrigues qui s'entremêlent, un humour décalé, une éblouissante maîtrise de la langue." Le Figaro "Un des grands romans français de ce début de siècle." La Règle du Jeu "Châteaureynaud accède comme naturellement au registre mythique." Le Soir"--Page 4 of cover.

• Naissance de l'idée, origine romantique
• Naissance de l'idée, origine anthropologique
• Naissance de l'idée, origine psychanalytique
• Naissance de l'idée, origine politique
• Valbenoîte
• Saint-Étienne
• Paris
• Paris ?
• Roanne
• Amplepuis
• Lyon
• Amplepuis
• Villefranche-sur-Saône
• Londres
• Amplepuis
• Manchester
• Londres
• Crimée
• Amplepuis - Paris ? Amplepuis
• Paris, place de la Concorde
• Paris, place de la Concorde
• Crimée
• Rhône.

"Qui connaît aujourd'hui Barthélemy Thimonnier, tailleur et inventeur de la machine à coudre ? Ses premières mécaniques furent détruites par des ouvriers. Ses brevets détournés. Thimonnier, qui croyait au siècle industriel, n'aura fait que le subir et sera effacé par le triomphe commercial de l'américain Singer. Le roman retrace cette contradiction, celle d'un homme qui rêvait de prospérité et que la croissance du capitalisme a précipité dans la misère et l'oubli. À la machine est aussi l'histoire d'une machine à coudre, achetée dans les années 60 en Algérie, qui accompagna la mère de l'auteure dans son exil en France."--Page 4 of cover.

"À l'approche de la soixantaine, une femme doit faire des efforts pour atténuer les rides et bien choisir ses petites culottes, surtout quand elle n'a pas la silhouette d'Ursula Andress. Des efforts, l'héroïne de ce roman en fait encore, le soir, pour rompre sa solitude sur les sites de rencontre, livrée aux faux-semblants du virtuel. Avec Norbert (rencontré sur Meetic), elle baise, elle va à la piscine, elle parle de tout, de sexe, du salaire des patrons du CAC 40, des migrants, de #Me too, de sa future (toute petite) retraite. Elle lui parle de poésie, il répond T'as pas d'autres sujets en réserve ? Il cite la sélection de l'équipe de France, elle préfère Kafka, il la voudrait en robe, elle préfère les pantalons. A part ça, ils s'entendent bien. À la piscine avec Norbert est un texte cru, drôle et enjoué, une réponse féminine et féministe aux Houellebecq de tous bords."--Page 4 of cover.

"Lorsque Man Ray, quarante-quatre- ans, et Adrienne Fidelin, dix-neuf ans, se croisent au Bal colonial de la rue Blomet dans le Paris des Années folles, naît entre eux une histoire d'amour intense, qui durera quatre années avant d'être brutalement interrompue par la guerre. Des années de complicité et de passion qui les marqueront tous deux à vie. Gisèle Pineau, par la voix d'Ady, fait revivre ce temps suspendu du bonheur. Obligée de quitter sa Guadeloupe natale à l'âge de quinze ans pour s'installer à Paris, la jeune femme spontanée séduit bientôt Man Ray et se voit entraînée par le grand artiste américain dans la vie de bohème qu'il mène avec ses amis. Car, à Montparnasse, comme durant les étés à Mougins avec Paul et Nusch Éluard, Pablo Picasso et Dora Maar, Lee Miller et Roland Penrose, les instants sont d'une liberté sexuelle et intellectuelle sans pareille ; les corps nus s'exposent au soleil ou à l'objectif de Man; Ady, Lee et Nusch s'accordent tous les plaisirs désirés. C'est un âge d'or que raconte Ady, un temps de nouveauté et de création, une vie volcanique dont les protagonistes sont des géants de l'histoire de l'art. Gisèle Pineau a écrit le roman vrai d'Ady, une muse éblouissante, le "soleil noir" de Man Ray - une femme toute de grâce, dont Éluard aurait assuré qu'elle avait "des nuages dans les mains"."--Page 4 of cover.

"Ce roman d'une amitié de jeunesse révèle un épisode crucial de la vie d'Andreï Makine. Le narrateur, qui vit dans un orphelinat de Sibérie, devient le garde du corps d'un garçon de son âge, Vardan, persécuté par les autres en raison de sa pureté et de sa santé fragile. En suivant ces deux adolescents, nous arrivons dans un quartier déshérité, le Bout du diable, où réside une petite communauté d'Arméniens venus soutenir leurs proches emprisonnés à 5 000 kilomètres de leur patrie. Nul n'oubliera plus les magnifiques figures de ce "royaume d'Arménie" ouvert aux déracinés "qui n'ont pour biographie que la géographie de leurs errances" - ces humbles "copeaux humains sacrifiés sous la hache des faiseurs de l'Histoire". Dans la lumière d'une double nostalgie - celle des Arméniens pour leur pays natal et celle de l'auteur pour son ami disparu - ce roman s'impose d'évidence comme un grand classique."--Page 4 of cover.

"L'AMI. Un samedi matin comme un autre, Thierry entend des bruits de moteur inhabituels tandis qu'il s'apprête à partir à la rivière. La scène qu'il découvre en sortant de chez lui est proprement impensable : des individus casqués, arme au poing, des voitures de police, une ambulance. Tout va très vite, et c'est en état de choc qu'il apprend l'arrestation de ses voisins, les seuls à la ronde. Quand il saisit la monstruosité des faits qui leur sont reprochés, il réalise, abasourdi, à quel point il s'est trompé sur Guy, dont il avait fini par se sentir si proche. Entre déni, culpabilité, colère et chagrin, commence alors une effarante plongée dans les ténèbres pour cet être taciturne, dont la vie se déroulait jusqu'ici de sa maison à l'usine. Son environnement brutalement dévasté, il prend la mesure de sa solitude. C'est le début d'une longue et bouleversante quête, véritable objet de ce roman hypnotique. Au terme de ce parcours quasi initiatique, Thierry sera amené à répondre à la question qui le taraude : comment n'a-t-il pas vu que son unique ami était l'incarnation du mal ? Avec ce magnifique portrait d'homme, Tiffany Tavernier, subtile interprète des âmes tourmentées, interroge de manière puissante l'infinie faculté de l'être humain à renaître à soi et au monde."--Page 4 of cover.

• Le chat et le cerf : Joubert et Chateaubriand
• Confraternité : Stendhal et Balzac
• Je t'aime, moi non plus : Stendhal et Mérimée
• N'y touchez pas, il est brisé : Vigny et Hugo
• "Vieux mauvais sujet" et "horreur de ma vie" : Barbey d'Aurevilly et Baudelaire
• Ils voyagèrent : Flaubert et Du Camp
• Concordia discors : Sand et Haubert
• Les sentiers qui bifurquent : Zola et Huysmans
• Notre jeunesse : Alain-Fournier et Jacques Rivière
• Encens et poisons : Montesquiou et Proust
• Sonate en trio "les dissonances" : Gide, Louys, Valéry
• Potassonnons ! potassonnons ! : Fargue et Larbaud
• Gibier de ciel : Jacob et Cocteau
• Infracassable noyau : Breton et Péret
• La route des crêtes : Char et Camus
• Dialogues de demi-exilés : Chardonne et Morand.

""Une seule âme en deux corps" : telle est la définition de l'amitié par Aristote. C'est évidemment une denrée rare. Et particulièrement, peut-être, chez les écrivains, espèce réputée volontiers "irritable", comme le disait déjà le poète Horace. Cet ouvrage propose un parcours à travers des amitiés d'écrivains des XIXe et XXe siècles. Autant de cas différemment nuancés, autant d'histoires singulières. Quelque chose de très fort se noue entre deux êtres souvent jeunes (pas toujours), et, à travers les aléas du temps, dure - ou ne dure pas. Parfois, à de très beaux commencements succèdent peu à peu l'usure, l'incompréhension, voire la brouille : on s'aperçoit que celui qu'on croyait aimer n'est pas son genre. D'autres, au contraire, ne cessent jusqu'à la fin de confirmer un lien indestructible : parce que c'est lui, parce que c'est moi. C'est à travers la médiation irremplaçable de la correspondance qu'on a tenté de saisir la tonalité spécifique de chaque duo : dans la lettre, espace idéalement plastique, chacun s'avoue avec le maximum de spontanéité et de vérité. Au-delà des malentendus, voire des ruptures, ce qui est au coeur de ces échanges toujours intenses et passionnés, c'est le même besoin vital et partagé qui cimente des associations quelquefois surprenantes d'atomes n'ayant, a priori, rien de crochu : entre écrivains, toute déclaration d'amitié est avant tout déclaration d'amour à la littérature."--Page 4 of cover.

"Ils ne se connaissent pas et pourtant, en cette journée caniculaire de septembre 1916 dans une petite ville du Sud des États-Unis, ils assistent parmi la foule au même effroyable spectacle : l'exécution par pendaison d'une éléphante de cirque, Mary, coupable d'avoir tué un homme. Cette vision bouleversera la vie d'Arabella, de Kid et de Jeremy. De l'Amérique qui entre en guerre au Paris tourbillonnant des années 1920, des champs de bataille de l'Est de la France aux cabarets de jazz, des pistes de cirque jusqu'au Kenya dissolu des colons anglais, ces trois êtres devenus inséparables vont se lancer sur la trace des éléphants au cours d'une prodigieuse expédition de sauvetage. Dans cette éblouissante saga, une jeunesse ivre d'amour et de nature livre son plus beau combat pour la liberté des animaux et celle des hais."--Page 4 of cover.

"De ces deux frères, Franky et Ti Tony, l'un est attaché aux mots et aux figures de style quand l'autre, pragmatique, se fie à la magouille pour les faire vivre dans ce corridor des quartiers pauvres et souvent violents de Port-au-Prince. Et le fait que leur mère leur dise depuis toujours qu'ils sont les descendants d'Antoine des Gommiers, ce devin magnifié par des générations d'Haïtiens, n'adoucit pas leur misère mais pourrait peut-être en modifier les contours et les lointains. Car c'est de cela qu'il s'agit, de cette parentèle qui ne change rien pour l'un et tout pour l'autre ; de la vie de ces deux garçons, de l'amour qu'ils portent à leur mère, de leur regard sur ses voeux et ses tourments. La réalité de leur existence, c'est Ti Tony qui la décrit. Franky, lui, préfère reconstituer le passé. Aux Gommiers il est allé un jour sur les traces de l'ancêtre supposé pour se documenter, et depuis il écrit ou revisite la vie de cet Antoine extraordinaire, cet homme en son coeur aussi salvateur qu'une ample métaphore. Mais quelle est l'essence des récits d'une vie quand elle n'a pas d'avenir ? Avec quelle arme ou quelle faiblesse se construit-on une intériorité, dans les corridors comme ailleurs ? Et quelle est la couleur de la beauté, celle de l'amour, si ce n'est celle que les conteurs et autres rêveurs portent à l'infini ? Ce roman est l'un des plus beaux, l'un des plus poétiques de Lyonel Trouillot.

• Le roman posthume
• Le rythme intime d'une époque
• Une question de récit
• Une singulière vieillesse
• L'invention du jeune-vieux
• L'existence posthume
• L'hypermnésie
• Fictions du posthume
• Entre la vie et la mort
• Entre le héros et le narrateur
• Le problème du récit chez Flaubert
• Vers une résolution de la contradiction
• La première Éducation sentimentale
• Le roman après la fin
• Du temps en trop
• Le mariage d'Emma
• La guerre des Mercenaires
• L'éducation de Frédéric
• La vieillesse de Bouvard et Pécuchet
• L'espace de l'après-roman : Charles et Félicité
• La mémoire du présent
• Reconnaissances
• Revenances
• Les secondes vues d'Emma
• La mémoire antique
• L'intermittence du souvenir
• Les lieux de mémoire du roman
• La mnémotechnie de Bouvard et Pécuchet
• Le "monument"
• L'épuisement du roman
• Désirs de fin
• Dissolutions
• Réductions
• Sonner le glas.

"Emma Bovary, Salammbô, Frédéric Moreau, Bouvard et Pécuchet sont morts. Leurs vies sont déjà faites, et non à faire - derrière eux, plutôt que devant. Les personnages de Haubert survivent certes dans la mémoire des lecteurs d'aujourd'hui. Mais morts, ils l'ont toujours été incapables de s'animer, dépourvus de futur dès leur première apparition sur la page. Flaubert serait, en somme, l'auteur d'une littérature déjà posthume. L'accusation est étonnamment persistante depuis le milieu du XIXe siècle. Comment l'expliquer ? Cet ouvrage suit les traces de cette réception et s'engage dans les voies qu'elle a ouvertes pour penser une manière singulière d'être dans le temps et d'écrire le temps."--Page 4 of cover.

• Symboles et abréviations
• Introduction
• L'aspect verbal
• Présentation générale
• Introduction
• Qu'est-ce que l'aspect
• Les formes à valeur aspectuelle
• L'aspect lexical : les types de procès
• Définition des types de procès
• Les tests
• Discussion
• L'aspect grammatical
• L'approche unitaire
• L'approché-dualiste
• Éléments de modélisation
• L'aspect de phase
• Les phases
• Aspect lexical ou grammatical ?
• Phases et visées aspectuelles
• L'aspect itératif
• Définitions et sous-classes de l'aspect itératif
• Une catégorie aspectuelle à part ?
• Grammaire de l'aspect conceptuel
• Itération et pluralité
• Limites de l'analogie verbo-nominale
• Les procès lato sensu : procès stricto sensu, séries itératives et phases
• Les agglomérats de procès
• Règles de grammaire de l'aspect conceptuel
• Structures des agglomérats itérés
• Les agglomérats de procès en contexte singulatif
• Les périphrases aspectuelles
• Qu'est-ce qu'une périphrase aspectuelle
• Les périphrases aspectuelles au sein des périphrases verbales
• Délimitation morphosyntaxique du domaine des périphrases verbales
• Délimitation sémantique du domaine des périphrases aspectuelles
• Avancées récentes et questions en suspens
• Entre lexique et grammaire, le parcours de grammaticalisation
• La question de la prédicativité
• Prédicats complexes, périphrases et locutions verbales
• Périphrases et système des conjugaisons
• Propositions d'analyse et de classement
• Définition des périphrases verbales
• Classement des coverbes
• Les (semi-)auxiliaires aspectuo-temporels
• Éléments hybrides
• Modélisation du système verbal
• Éléments d'épistémologie : systèmes et modèles
• Le modèle SdT : présentation générale
• Spécificités au plan théorique
• Spécificités au plan de la modélisation
• Spécificités au plan empirique
• Le système des formes verbales
• Le système des valeurs aspectuo-temporelles des formes verbales
• Interprétation des chaînes verbales
• Les valeurs des flexions verbales
• Rôle des éléments co(n)textuels
• Le participe passé
• Application : le futur antérieur
• La valeur en langue du futur antérieur
• Effets de sens descriptifs
• Effets de sens interprétatifs
• Spécificité du futur antérieur au sein du système verbal
• Aspect et temps ramifié
• Critique de la conception traditionnelle du futur simple comme marqueur d'incertitude
• Nature du temps ramifié
• Le choix des points de ramification
• Application au futur simple
• Modalités temporelles et aspectuelles associées au futur simple
• Le paradoxe de l'assertion au futur
• Les effets de sens modaux du futur en emploi descriptif
• Application aux temps du passé
• Application aux périphrases aspectuelles
• Application au conditionnel temporel subjectif
• Définition de l'emploi "temporel subjectif"
• La structure modale de ces constructions
• La possibilité prospective
• Conditionnel temporel et possibilité prospective.

"Le français dispose d'une très grande variété de formes verbales, dont certaines sont susceptibles de prendre de nombreux effets de sens en contexte. Les différences sémantiques entre ces formes sont souvent d'ordre aspectuel. Cet ouvrage propose une introduction au domaine de l'aspectologie et une application au système des formes verbales du français, pris dans toute son étendue (temps simples et composés, formes périphrastiques plus ou moins complexes). Il s'adresse à la fois aux lecteurs souhaitant disposer d'une vue d'ensemble de ce qu'est l'aspect en français, et aux spécialistes de ces questions qui trouveront des éléments de modélisation et d'analyse de phénomènes aspectuels qui interagissent avec le temps et la modalité."--Page 4 of cover.

"Un homme mûr revient dans la banlieue de son enfance et de son adolescence, revoir un ami malade et enfermé chez lui. Dès le train, plus confortable qu'autrefois, il se met sans le vouloir à faire le compte de ce qui a changé et de ce qui ne changera jamais. Les wagons sont neufs, mais les rails sur lesquels ils roulent suivent toujours le même trajet. S'agit-il de renouer les fils d'une histoire ancienne ? Peut-être. Il s'agit de se souvenir, d'exprimer ce qui a compté autrefois, ce qui fait une vie, même invisible. Chant d'amour mélancolique à la banlieue, Aujourd'hui est aussi une ode aux anonymes, à "ceux qui ne sont rien" quand on les croise sans les voir dans le hall d'une gare, et qui pourtant, pour peu qu'on s'y attarde et s'y intéresse, forment le coeur vibrant de notre humanité."--Page 4 of cover.

• Critique et le fantôme d'Acéphale
• Georges Bataille : Critique et la révolte
• Bataille-Kojève-Critique : la souveraineté et le sérieux
• Georges Bataille-Éric Weil : correspondance et antipodie
• Maurice Blanchot, compagnon de route de Critique ?
• Critique allemande. De l'exégèse phénoménologique à sa négation matérialiste.

"Cet ouvrage constitue les actes de la première session du colloque "La revue Critique : passions, passages" qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle et à l'IMEC du 14 au 21 juin 2019. Il concerne la première époque de Critique, revue générale des publications françaises et étrangères, fondée en 1946 par Georges Bataille aux Éditions du Chêne, dirigée officiellement par Georges Bataille, codirigée dans les faits par Georges Bataille et Éric Weil, publiée par les Éditions du Chêne, puis par les Éditions Calmann-Lévy, enfin par les Éditions de Minuit à partir de 1950. Premier ouvrage collectif consacré à Critique, il complète les publications existantes en apportant des points de vue diversifiés sur la revue et offre un aperçu sur l'histoire intellectuelle des années d'après-guerre à travers l'évocation de certains épisodes et acteurs importants."--Page 4 of cover.

• Introduction : L'analytique ousiologique et les trois essences de la transcendance
• La transcendance comme absolu : l'extériorité et la pluralité
• La transcendance comme absolu ou auto-relation absolue : l'être hors d'être
• La transcendance comme factualité absolue
• La transcendance ou l'extériorité comme pluralité
• L'absolu transcendant comme hétérogénéité ou transcontinuité plurielle
• L'absolu transcendant comme énergie
• La transcendance comme absolu sui generis et l'ouverture aux autres absolus
• La transcendance comme non-représentation et non-objectivité : l'extériorité en soi
• La transcendance comme non-objectivité
• La transcendance comme non-représentation et non-conscience
• La transcendance comme inconscient réel et la conscience comme abstraction
• La transcendance comme extériorité en soi ou ouverture pure
• La transcendance comme spontanéité vitale concrète
• La transcendance comme preuve non démonstrative de la pluralité des inconscients
• La transcendance comme manifestation absolue : la parousie externe
• La transcendance absolue comme manifestation absolue : la non-occultation
• La transcendance absolue comme parousie externe ou auto-visibilité non objective
• La parousie transcendante comme évidence non représentative
• La parousie transcendante comme instantialité et factualité
• La parousie transcendante comme énergie
• La parousie plurielle transcendante et l'irradiation des absolus
• La transcendance comme auto-contenu positif : l'énergie non pro-cessuelle
• La transcendance comme auto-contenu ou auto-matière
• La transcendance comme positivité ou auto-contenu positif
• La transcendance comme soubresaut d'être purement positif : l'ontologie positive
• La transcendance comme énergie non processuelle
• La transcendance comme auto-loi de l'extériorité
• La transcendance comme preuve non processuelle absolue des absolus processuels
• La transcendance comme auto-réalité et auto-science : l'analytique ousiologique
• La transcendance comme science concrète
• La transcendance comme auto-parousie scientifico-réelle
• La transcendance comme auto-ousiologie ou auto-onto-phénoménologie
• La transcendance comme auto-analytique externe
• La transcendance comme analytique ousiologique
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-preuve transcendante de la pluralité des absolus
• La transcendance plurielle comme absolu sui generis de la non-renonciation et la preuve de la pluralité des absolus : la transduction transcendante comme preuve de la transduction immanentale
• La transcendance comme absolu sui generis de la non-renonciation
• La transcendance plurielle comme preuve de la pluralité des absolus ou la non-renonciation comme preuve des renonciations
• La transcendance plurielle comme sphère non renonciatrice de l'auto-preuve plurielle non renonciatrice des absolus
• L'irréductibilité de la transcendance plurielle et de l'immanental pluriel : la transduction transcendante comme preuve de la transduction immanentale
• La transduction immanentale comme transduction divine, humanité et tolérance et le respect des essences transcendantes

• L'aliénation de la transcendance comme confusion des extériorités ou auto-négation : les monismes de la transcendance. L'auto-réforme de l'aliénation
• L'aliénation comme abstraction, représentation et conscience
• L'aliénation de la transcendance comme confusion des extériorités et des absolus : la conscience divine et les extériorités
• L'aliénation comme fermeture et occultation
• L'aliénation comme intolérance et irrespect : l'auto-négation
• L'aliénation comme exclusivisme ou monisme de la transcendance
• L'auto-réforme ou l'auto-contenance de l'aliénation par la réalité radicale
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode et l'extériorité comme espace
• Les essences de la spatialité concrète
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode et auto-contenu
• L'auto-méthode analytique comme non-conscience
• L'auto-méthode analytique comme parousie vitale non processuelle
• Critique de l'explication pure métaphysique et de la description pure phénoménologique
• L'auto-méthode analytique comme auto-explication dans l'auto-description : la méta-phénoménologie de la transcendance
• L'auto-méthode analytique de la transcendance comme auto-réduction dans la non-réduction ou auto-réforme de l'abstraction théorique : l'auto-méthodologie transcendante
• L'analytique ousiologique de la transcendance et la spatialité concrète comme auto-réforme de la spatialité mathématique
• La transcendance comme espace ou spatialité concrète
• La transcendance comme spatialité concrète et l'espace abstrait mathématique
• La spatialité transcendante comme auto-analytique méthodique
• La spatialité concrète comme contenance de la spatialité abstraite
• L'analytique transcendante comme auto-réforme de la spatialité abstraite mathématique
• La spatialité concrète comme ouverture à la temporalité interne et à la temporalité logique de la pensée
• Les déterminations onto-phénoménologico-ousiologiques de l'extériorité
• La gradation des déterminations ontologique, phénoménologique et ou-siologique
• La détermination ontologique de l'extériorité et de son aliénation
• La détermination phénoménologique de l'extériorité et de son aliénation
• La détermination ousiologique de l'extériorité et de son aliénation
• L'auto-réforme et la contenance de l'aliénation ousiologique externe par la réalité ousiologique transcendante
• La preuve externe des non-extériorités dans ses déterminations ontologico-phénoménologico-ousiologiques
• Les trois essences de la transcendance ou les trois lieux de la spatialité concrète : la co-existence, le respect et l'espace
• Les essences de la transcendance comme lieux ousiologiques
• L'essence transcendante comme indétermination externe ou autrui
• L'essence transcendante comme détermination externe ou chose
• L'essence transcendante comme relation externe ou technique
• Différence entre l'essence technique et les autres sphères ousiologiques. Aperçu sur le problème de l'aliénation
• La co-existence, le respect et l'espace
• L'espace ou le respect transcendant de la pluralité des absolus
• L'âme, le corps et le temps des essences de la transcendance

• L'auto-formalité et l'auto-contenance des lieux transcendants
• L'âme ou l'auto-spiritualité des essences externes
• Le corps ou l'auto-matérialité des essences externes
• Le temps ou l'auto-spiritualité matérielle des essences externes
• L'analytique ousiologique comme spiritualisme et matérialisme
• L'analytique matérielle spirituelle comme auto-respect des essences et respect des absolus
• L'auto-méthode analytico-spatiale de la transcendance comme trie-fraction dans la transduction. L'auto-méthode analytique comme sphère de l'auto-méthode systématique théologique
• L'auto-méthode analytico-spatiale de la transcendance comme triffraction dans la transduction
• Différence entre la triffraction dans la transduction transcendante et les trinités immanente et transcendantales
• Différence entre la triffraction dans la transduction transcendante et la triffraction dans la transduction divine des absolus
• L'auto-méthode analytique comme sphère de l'auto-méthode systématique théologique. La triffraction externe comme sphère de la triffraction divine
• La factualité et l'instantialité analytico-ousiologique de la transcendance. L'auto-attitude analytico-ousiologique
• La factualité instantielle transcendante comme sphère de la factualité divine ou de la tolérance théologique
• L'altérologie ousiologique comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : autrui
• L'altérologie ousiologique comme science concrète d'autrui
• Autrui comme altérologie ousiologique ou science concrète de l'indétermination transcendante
• Autrui comme instantialité non intentionnelle : critique de l'inter-subjectivité
• Autrui comme parousie transcendante : l'altérologie phénoménologique
• Autrui comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : l'altérologie ontologique
• Autrui comme essence non processuelle : l'altérologie ousiologique
• La pluralité sui generis d'autrui et la co-existence comme respect des extériorités
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant qu'autrui
• Autrui comme sphère de l'extériorité. L'altérologie comme sphère de l'analytique
• Autrui comme sphère du divin. L'altérologie comme sphère de la systématique : la valeur
• Autrui comme tolérance et respect des extériorités
• La négation d'autrui ou l'aliénation : critique de la psychanalyse
• La co-existence comme participation horizontale d'autrui aux autres essences de la transcendance : le visage, l'acte et le discours
• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : autrui comme participant sui generis
• La participation horizontale d'autrui aux autres essences comme altérologie analytico-ousiologique
• La participation horizontale transcendante d'autrui aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'auto-participation horizontale externe d'autrui à soi : le visage
• La participation horizontale d'autrui à la chose : l'acte
• La participation horizontale d'autrui à la technique : le discours
• L'aliénation d'autrui comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales
• L'aliénation d'autrui comme refermement pur
• L'aliénation d'autrui comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange

• L'aliénation d'autrui et sa détermination ontologico-phénoménologi-co-ousiologique
• L'aliénation d'autrui comme marionnette ou esclave
• L'aliénation de la participation d'autrui à soi-même : le masque ou la négation du visage
• L'aliénation de la participation d'autrui à la chose : le fantasme ou la négation de l'acte
• L'aliénation de la participation d'autrui à la technique : le silence ou la négation du discours
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte d'autrui contre son contenu aliénant : le sourire, la caresse et l'invention
• L'ouverture d'autrui aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : autrui comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences non externes comme altérologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences de l'immanence : l'amant, le frère et le compagnon
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences du transcendantal : l'ami, le camarade et le partenaire
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle divine des absolus
• L'aliénation de la fermeture d'autrui aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'aliénation d'autrui comme fermeture pure horizontale ou la relativisation
• L'aliénation d'autrui comme négation des coexistences : l'intolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation d'autrui et leur détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation ou la fermeture d'autrui aux essences de l'immanence : le rival, l'étranger et le concurrent
• L'aliénation ou la fermeture d'autrui aux essences de la pensée : l'inimitié, l'esclavage et l'adversité
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte d'autrui contre ses contenus fermés ou aliénés
• La pragmatologie ousiologique comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : la chose
• La pragmatologie ousiologique comme science concrète de la chose
• La chose comme pragmatologie ousiologique ou science concrète de la détermination transcendante
• La chose comme instantialité non intentionnelle : critique de la substantialité et de l'objectivité
• La chose comme parousie transcendante : la pragmatologie phénoménologique
• La chose comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : la pragmatologie ontologique
• La chose comme essence non processuelle : la pragmatologie ousiologique
• La pluralité sui generis de la chose et la co-existence comme respect des extériorités : la pragmatologie comme ousiologie écologique
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant que chose
• La chose comme sphère de l'extériorité. La pragmatologie comme sphère de l'analytique
• La chose comme sphère du divin. La pragmatologie comme sphère de la systématique
• La chose comme respect des extériorités : la pragmatologie écologique. Anticipation sur la critique de l'économie objective
• La négation de la chose ou l'aliénation comme pollution : critique du scientisme et du technicisme
• La co-existence comme participation horizontale de la chose aux autres essences de la transcendance

• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : la chose comme participant sui generis
• La participation horizontale transcendante de la chose aux autres essences comme pragmatologie analytico-ousiologique
• La participation horizontale transcendante de la chose aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique : la valeur
• La participation horizontale externe de la chose à autrui : la valeur de la chose comme significativité
• L'auto-participation horizontale externe de la chose à soi : la valeur de la chose comme oeuvre ou gratuité
• La participation horizontale de la chose à la technique : la valeur de la chose comme produit ou utilité
• L'aliénation de la chose comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales
• L'aliénation de la chose comme refermement pur
• L'aliénation de la chose comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange
• L'aliénation de la chose et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation de la chose ou le refermement pur comme fantôme
• L'aliénation de la participation de la chose à autrui : l'insignifiance ou l'opacité, la négation de la significativité
• L'aliénation de la participation de la chose à soi : l'instrument, la négation de l'oeuvre ou de la gratuité
• L'aliénation de la participation de la chose à la technique : le déchet, la négation de l'utilité ou du produit
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la chose contre son contenu aliénant : l'interprétation, la libération et le recyclage
• L'ouverture de la chose aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal : la pragmatologie ousiologico-sociale
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : la chose comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes comme pragmatologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences de l'immanence : la gracieuseté comme don, cadeau et présent
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences du transcendantal : la propriété ou l'échange comme prêt, bien et troc ou marchandise
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle divine des absolus : la pragmatologie ousiologico-sociale
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal : la pragamatologie ousiologico-économique
• L'aliénation de la chose comme fermeture pure horizontale ou la relativisation. L'aliénation de la pragmatologie comme économie
• L'aliénation de la chose comme négation des coexistences : l'intolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation de la chose et leur détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de l'immanence : la monnaie, le profit et le capital
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de la pensée : la dette, l'intérêt et la spéculation

• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la chose contre son contenu fermé : le travail, le salaire et la consommation, l'épargne, l'entreprise et l'investissement. La pragmatologie économique
• La technologie générale ou la mécanologie comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : la technique
• La technologie générale ou la mécanologie comme science concrète de la technique
• La technique comme technologie générale ou mécanologie, la science concrète de la technique
• La technique comme instantialité non intentionnelle et non consciente
• La technique comme parousie transcendante : la mécanologie phénoménologique
• La technique comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : la mécanologie ontologique
• La technique comme essence non processuelle : la mécanologie ousio-logique
• La pluralité sui generis de la technique et la co-existence comme respect des extériorités
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant que technique
• La technique comme sphère de l'extériorité. La mécanologie ou la technologie générale comme sphère de l'analytique
• La technique comme sphère du divin, la mécanologie comme sphère de la systématique ou de l'encyclopédie ontologico-géographique et théologique des essences
• La technique comme tolérance et respect des extériorités
• La négation de la technique comme abstraction et l'aliénation comme pollution : critique de l'écologie et du technicisme comme transhumanisme
• La co-existence comme participation horizontale de la technique aux autres essences de la transcendance : l'auto-relation des participations aux essences ousiologiques
• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : la technique comme participant sui generis
• La participation horizontale transcendante de la technique aux autres essences comme mécanologie ou technologie générale analytico-ousiolo-gigue
• La participation horizontale transcendante de la technique aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• La participation horizontale externe de la technique à autrui : la machine
• La participation horizontale externe de la technique à la chose : l'outil
• L'auto-participation horizontale externe de la technique à soi : le robot
• L'auto-relation des participations relationnelles horizontales techniques aux essences ousiologiques : la participation de la participation
• La participation de la machine aux essences : le moteur, la transmission et la machine d'opération
• La participation de l'outil aux essences : l'instrument, l'ustensile et l'appareil
• La participation du robot aux essences : la télécommande, la régulation et l'asservissement
• L'aliénation de la technique comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales externes
• L'aliénation de la technique comme refermement pur : la relativisation externe
• L'aliénation de la technique comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange. L'absolutisation externe
• L'aliénation de la technique et sa détermination ontologico-phénoméno-logico-ousiologique
• L'aliénation de la technique ou le refermement pur comme arme
• L'aliénation de la participation de la technique à autrui : l'arme à feu ou la négation de la machine

• L'aliénation de la participation technique à la chose : l'arme blanche ou la négation de l'outil
• L'aliénation de la participation de la technique à soi-même : la bombe ou la négation du robot
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la technique contre son contenu aliénant comme auto-confiance
• L'aliénation de l'auto-relation ou de l'auto-participation de la participation relationnelle technique aux essences ousiologiques
• La négation de la participation de la machine aux essences : l'arme de poing, l'arme légère et le canon
• La négation de la participation de l'outil aux essences : le poignard, l'épée et le sabre
• La négation de la participation du robot aux essences : le missile, l'arme biologique et l'arme nucléaire
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de l'auto-participation de la participation technique contre son contenu aliénant
• L'ouverture de la technique aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : la technique comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes comme technologie générale ou mécanologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences de l'immanence : l'énergie, le mouvement et l'information
• L'ouverture de l'ouverture de la technique comme auto-relation redoublée aux essences immanentes
• L'ouverture de l'énergie à l'indétermination immanente : l'énergie thermique
• L'ouverture de l'énergie à la détermination immanente : l'énergie mécanique
• L'ouverture de l'énergie à la relation immanente : l'énergie électrique
• L'ouverture du mouvement à l'indétermination immanente : la production des matériaux
• L'ouverture du mouvement à la détermination immanente : l'usinage
• L'ouverture du mouvement à la relation immanente : la fonction ou la locomotion
• L'ouverture de l'information à l'indétermination immanente : le transistor bipolaire
• L'ouverture de l'information à la détermination immanente : le transistor MOSFET
• L'ouverture de l'information à la relation immanente : le système CMOS
• L'ouverture à trois degrés de la technique comme mouvement aux essences immanentes
• Les ouvertures de la production des matériaux aux essences de l'immanence : l'affinage ou le raffinage, la fonderie ou la conversion, le soudage ou l'extraction des produits pétroliers
• Les ouvertures de l'usinage aux essences de l'immanence : l'enlèvement des copeaux, le découpage et le formage
• Les ouvertures de la fonction ou de la locomotion aux essences de l'immanence : la locomotion, la machine-outils et l'appareillage ménager
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences du transcendantal : la production, la fabrication et l'interconnexion
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle des absolus
• L'aliénation ou la fermeture de la technique aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'aliénation de la transcendance comme fermeture pure horizontale ou relativisation

• L'aliénation de la transcendance comme négation des co-existences : la tolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation technique et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique : le technicisme
• L'aliénation ou la fermeture de la technique aux essences de l'immanence : la perte d'énergie, l'arrêt et la fuite
• L'aliénation ou la fermeture de la transcendance aux essences de la pensée : l'inhibition, le dysfonctionnement et la déconnexion
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la transcendance contre son contenu aliéné : le rendement, l'entretien, l'adaptation et l'invention. Le progrès technique
• Conclusion : l'analytique ousiologique de la transcendance comme culture et comme propédeutique à l'ousiologie théologique
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme culture ou culturel : la tolérance
• Critique des idées de monde et de civilisation
• La culture comme culturel ou la tolérance comme co-existence instantielle des extériorités
• Le culturel comme pluralité de vérités
• La culture ou le culturel comme espace
• La transcendance comme sphère de cimmanental : l'analytique ou-siologique comme propédeutique à l'ousiologie théologique : l'essence de l'humanité
• La transcendance comme sphère de l'immanental et preuve de la non-extériorité
• L'analytique ousiologique comme propédeutique à la systématique ou-siologique ou à l'ousiologie théologique
• Les déterminations ontologico-phénoménologico-ousiologiques de la transcendance et de l'immanental
• La transcendance ou l'extériorité comme sphère de l'humanité
• La transcendance comme privilège et la pluralité des privilèges
• La participation verticale universelle de tous les étants à la transcendance et à tous les absolus du divin
• La participation verticale universelle de tous les étants aux essences de la transcendance
• La participation verticale universelle de tous les étants à tous les absolus du divin
• Les problèmes de l'irréductibilité entre l'extériorité, l'art, la nature et le droit
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et l'art
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et la nature
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et le droit
• La culture transcendante contre les trois formes de barbarie.

"Ce livre met en oeuvre la méthode philosophique de l'ousiologie pour l'étude de l'extériorité. Il s'agit de définir les trois essences de l'altérité comme autrui, chose et technique. La véritable tolérance, comme réalité et non comme simple idéal, ne concerne pas seulement la sphère d'autrui mais la coexistence d'autrui avec, d'abord, les choses, dans leur valeur notamment économique, et avec, ensuite, la technique. Dans une perspective autant inspirée par Aristote et Simondon que par Lévinas, il s'agit de garantir ou plutôt de reconnaître la dignité d'être et de valeur des différentes sphères du réel comme transcendance. La perversion consiste dans la confusion entre les essences, par exemple dans la confusion entre la chose et la technique. Derrière une analyse conceptuelle rigoureuse, ce livre cache une condamnation de la théorie abstraite et de la confusion systématique, un hymne respectueux à la pluralité du réel."--Page 4 of cover.

• Préface, par Yann Potin
• Introduction générale. Les Juifs, hors du récit national ?
• Prologue. Administrer les Juifs ou faire leur histoire ? (1780-1853)
• Au commencement était... le Concours de la Société royale de Metz (1785-1787)
• La mise en archives des lettres patentes relatives aux Juifs d'Alsace (1784) : construction d'un savoir administratif et monumentalisation de l'histoire régionale des Juifs
• Le Recueil de législation concernant les Israélites (1851) un "manuel d'administration israélite"
• Vers une contre-histoire ? Louis-Francia Beaufleury et l'histoire des Juifs de Bayonne et de Bordeaux
• Une mémoire en négatif : les juifs médiévaux dans les archives royales (années 1810 - années 1860)
• L'empire des collections de lois : les Juifs du royaume comme abstraction juridique à l'usage des historiens et des juristes
• Les lois relatives aux Juifs dans le Recueil des anciennes lois françaises d'Isambert (1821-1833)
• Le "produit des Juifs" : une abstraction juridique au service de la construction de l'absolutisme royal
• La layette "Juifs" du Trésor des chartes archéologie d'un ensemble documentaire situé au coeur des Archives royales
• La layette "Juifs" dans l'économie générale du Trésor des chartes
• La layette "Juifs" à travers les générations successives d'inventaires du Trésor des chartes
• La pièce manquante : à la recherche de J/427 n0 19
• Des usages juridiques et judiciaires aux usages historiographiques : les pièces de la layette "Juifs" comme sources pour l'histoire des Juifs
• J/427 n° 18 (1321) : les fortunes d'une "fable" dans le Trésor des chartes
• J/427 n° 13 : mémoire juive de Paris et histoire antiquaire
• À la recherche des "vénérables débris, témoins de nos anciens malheurs" : Samuel Cahen aux Archives du Royaume (1840)
• Construire une mémoire positive de la .présence juive médiévale : manuscrits hébraïques et fabrique des "sources judéo-françaises" (années 1860 ? années 1900)
• Des Archives de l'Empire à la Bibliothèque impériale : les vicissitudes des manuscrits hébraïques du Trésor des chartes
• Autour du manuscrit BnF Hébreu n° 302 : les aventures d'un glossaire hébreu-français du XXe siècle dans les collections de la Bibliothèque nationale
• Du BnF Hébreu 302 au "Glossaire de Paris" (A. Darmesteter) : la seconde vie d'un codex
• Du manuscrit à l'édition scientifique : le "Glossaire de Paris" dans tous ses états
• Extension du domaine des sources judéo-françaises les livres de comptes d'Héliot de Vesoul aux Archives départementales de Côte-d'Or
• Chronique d'une dissémination documentaire
• Chronique de la saisie érudite : à propos d'un "manuscrit que l'on dit être Talmud"
• Isidore Loeb et les "livres de commerce" d'Héliot de Vesoul (1884) de l'histoire régionale à la philologie romane
• La mémoire exhumée : les sources archéologiques de l'histoire des Juifs en France
• Un savoir antiquaire en construction
• Vers une géographie provinciale de la présence juive attestée par l'archéologie
• Le "hasard, dieu des chercheurs"
• La préméditation : les graffiti d'Issoudun (1833). Le relevé d'inscriptions hébraïques comme aventure héroïque
• Le temps de l'inventaire exhaustif du "trésor lapidaire" (Moïse Schwab) des inscriptions hébraïques de France
• Paléographie ou épigraphie hébraïque ?

• La faible contribution des vestiges archéologiques relatifs aux Juifs en France à la constitution des antiquités nationales
• Les inscriptions hébraïques comme "trésor lapidaire" : patrimonialisation et muséalisation des stèles hébraïques
• Une découverte épigraphique et archéologique majeure les stèles hébraïques de la rue Pierre-Sarrazin (Paris)
• Des pierres et des crânes... Enquête sur un refoulement de la mémoire
• Entre art et archéologie : les judaica de la collection Strauss et la définition d'un art religieux juif français
• La mémoire disséminée : classification des archives et écriture de l'histoire locale des Juifs en France (v. 1830 - v. 1880)
• Mise en ordre des archives et révélation de massifs documentaires relatifs aux Juifs dans les dépôts &archives publiques
• La rencontre des premiers "gisements documentaires" relatifs aux Juifs : le cas des Archives departementales du Bas-Rhin
• Des gisements documentaires à la monographie régionale le travail pionnier de Gustave Saige (1884)
• Des Juifs, seigneurs au Moyen Âge ? Chartes languedociennes médiévales et fianco-judaïsme
• Les Archives nationales au service de l'histoire des Juifs en France
• Siméon Luce et le "Catalogue des actes relatifs aux Juifs dans le Trésor des chartes sous Philippe le Bel" (1881)
• Isidore Loeb aux Archives nationales : chronique d'une fièvre archivistique
• De la mémoire à l'histoire critique : les archives au service d'une historiographie de la "coexistence pacifique"
• Isidore Loeb et l'historiographie documentaire points de convergence et points de divergence
• L'histoire des Juifs d'Avignon et du Comtat Venaissin : un cas "idéal"
• La méthode monographique d'Isidore Loeb à Orange et Carpentras
• Sources externes ou sources internes? Les statuts des Juifs d'Avignon et du Comtat Venaissin
• Apogée et déclin d'une source "interne" de l'histoire des Juifs du pape
• Vers une histoire commune des Juifs et des chrétiens au Moyen Âge ? Les archives notariales comme sources
• Salomon Kahn et les registres notariaux montpelliérains : le crédit juif en question
• Adolphe Crémieux : les registres notariaux et la question de la citoyenneté des Juifs de Marseille
• Paul Hikienfinger et les sources notariales d'Arles : jeux d'échelle, de l'individu à la communauté
• À la recherche des sources de l'histoire "intérieure" des Juifs de France
• Les archives communautaires de Metz : une approche généalogique
• Qu'est-ce qu'un Memorbuch ?
• À la recherche des Mémoriaux de Metz
• L'histoire du rabbinat de Metz : les archives communautaires au service de l'hagiographie
• Monuments ou épaves archivistiques ? Les pinkassim "français", des sources au risque de leur dislocation et de leur dissémination
• L'exception bordelaise
• Que sont devenus les autres pinkassim "français"
• Des registres communautaires aux registres d'état-civil des Nations juives à la nation française
• Les pinkassim de Carpentras : un' registre peut en cacher un autre
• Les registres de circoncisions d'Alsace et de Bordeaux : des sources franco juives ?
• Des marges au centre : les Juifs de Paris au XVIIIe siècle, l'état-civil d'une population sous surveillance.

"Les Juifs seraient absents de la mémoire historique de la France. À contre-courant de cette idée, ce livre propose de relire le processus de construction de l'histoire des Juifs de France en partant à la recherche de ses sources. Centré sur le XIXe siècle, il prend pour point de départ les ardents débats relatifs à la citoyenneté des Juifs sous la Révolution française. Tandis que la recherche historique se voit portée en France, à partir des années 1830, par la volonté politique de mise en ordre du passé archivé au sein des dépôts publics, de nombreux documents se voient identifiés, classés, inventoriés et publiés. Parmi eux, des documents relatifs à l'histoire des Juifs. Certains sont disséminés dans les fonds des archives locales, d'autres au contraire sont retrouvés au coeur même des collections les plus prestigieuses de la royauté française. Parallèlement, la fièvre archéologique qui gagne les élites provinciales cherchant à célébrer les racines chrétiennes de la France, fait émerger, presque par hasard, des inscriptions hébraïques. Celles-ci sont néanmoins intégrées difficilement et marginalement au domaine alors florissant des antiquités nationales. Il faudra attendre la fin du XIXe siècle pour qu'un cercle restreint de savants ancre une histoire française des Juifs depuis le Moyen Âge, non pas séparée, mais intégrée à l'histoire de France. Cette histoire "judéo-française", répondant à distance aux attaques antisémites de la presse nationaliste d'alors, permet de révéler la part juive insoupçonnée de l'histoire de France. Mais cette reconnaissance a un prix : la perte et la dislocation de nombreuses archives issues des anciennes communautés juives de France, fragilisant à terme la possibilité de reconstituer leur histoire "intérieure"."--Page 4 of cover.

• Pratiques de musiciens, avant la notion de discipline
• Contexte autour de la Méthode de chant du Conservatoire de Musique (1803)
• Réorganisation des écoles de chant
• Confection de la Méthode
• À l'origine de l'enseignement du solfège moderne : les maîtres d'intonation
• L'enseignement de la technique vocale : les maîtres de musique
• Le maître de chant et de goût
• Obligations des élèves
• Fonctions attribuées aux méthodes
• Qui sont les auteurs de la Méthode de 1803 et quel est leur mandat ?
• Le chant institutionnalisé
• Le chant, d'après des normes
• La voix
• La gamme en sons filés : messa di voce
• Comment la messa di voce est-elle représentée dans d'autres ouvrages contemporains de la Méthode ?
• Position de l'élève pour l'exercice des gammes
• Choix des voyelles et vocalisation
• Réunion des registres
• Transposition musicale
• Part de respirer
• Grande respiration et demi-respiration
• Comment, d'autres livres contemporains à la Méthode, enseignent-ils la respiration ?
• Différents types de voix et acquisition de certains procédés
• Registres
• Coup de glotte
• Portamento
• Legato et portamento, dans d'autres livres
• Les agréments
• Trille et roulade
• Petit groupe ou gruppetto
• Récapitulation concernant la Méthode de 1803 et ses contenus
• Écoles légendaires à Rome : Bontempi (1695) et Maugars (1672 [1639])
• Regards sur des pratiques à Rome, au début du XVIIe siècle
• Formation des chanteurs, selon Bontempi
• Origines d'un paradigme
• Maugars : l'épître sous forme de paragone comme genre didactique
• Parallèles entre Bontempi et Maugars
• La notion de travail : acquis de l'expérience et de l'habitude
• Ce que l'écrit représente chez Bontempi et chez Maugars
• Le rôle du maître, chez Bontempi
• L'importance de l'entourage, chez Maugars
• Récapitulation concernant les textes de Bontempi et Maugars
• L'Art du bien chanter en France : De Bacilly (1668)
• Le contexte d'écriture
• La manière de dire à l'origine du clivage social
• Écoles de chant, en France
• Raisons qui auraient favorisé l'émergence d'un traité français sur le chant et la déclamation
• Ce que De Bacilly nous dit sur le chant et son apprentissage
• Contenus d'enseignement chez De Bacilly
• La notion de travail
• Ce que l'écrit représente chez De Bacilly
• Différentes méthodes d'enseigner
• Récapitulation concernant le traité de De Bacilly
• Manières de faire des différentes nations
• Raguenet (1702) et Le Cerf de la Viéville (1706 11705])
• Découverte du rire à l'opéra en France : rupture du paradigme de perception
• Rôle des publications, notamment de la presse, dans les pratiques de perception
• À l'origine de la notion de "discipline" : les Solfèges au XVIIIe siècle en Italie et en France
• Que pouvons-nous déduire des textes de Raguenet et de Le Cerf de la Viéville ?
• Quel rapport avaient les chanteurs avec l'écrit ?
• Fonction représentative des textes
• Comment sont formés les musiciens dans les deux traditions ?
• Récapitulation concernant les textes de Raguenet et Le Cerf de la Viéville

• Ce que disent des musiciens français, au XVIIIe siècle, sur leur art : De Montédair (1736) et Blanchet/Bérard (1755)
• Fonctions des différents maîtres de musique au XVIIIe siècle
• Les notions de genre et de répertoire italien au Théâtre de Monsieur
• Le livre de De Montéclair (1736)
• La voix dans un corps
• Ce que représentent les savoirs chez De Montéclair
• Fonctions des maîtres et usage des livres sur la voix
• L'art du chant, d'après des recherches scientifiques : Blanchet/Bérard (1755)
• Contenus d'enseignement chez Blanchet/Bérard
• Ce que représentent les savoirs chez Blanchet/Bérard
• Quel est le rôle du maître ?
• Récapitulation concernant les textes de De Montéclair et Blanchet/Bérard
• Deux traités italiens du XVIIIe siècle : Tosi (1723) et Mancini (1774)
• Le chant figuré d'après Tosi
• Contenus d'enseignement chez Tosi
• Milieux didactiques chez Tosi
• Ce que les écrits représentent chez Tosi
• Les maîtres, dans l'entourage de Tosi
• Les Riflessioni de Mancini
• Histoires morales à fonction didactique
• Contenus d'enseignement chez Mancini
• Milieux didactiques chez Mancini
• Ce que les écrits représentent chez Mancini
• Les maîtres, dans l'entourage de Mancini
• Récapitulation concernant les traités de Tosi et Mancini
• L'expression et autres notions problématiques, d'après la Méthode de 1803
• Notions de technique et d'expression
• Scripturalisation de l'expression
• Contenus que l'on peut acquérir avec l'étude de la Méthode
• Phrase musicale
• Prononciation
• Contenus que l'on ne peut pas acquérir avec l'étude
• Divers caractères du chant : la notion de style
• Récitatif
• Le goût et ses changements
• Ce dont la Méthode ne nous parle pas et ce que d'autres livres proposent
• Solfèges et solfège
• La morale
• Le temps de travail
• Récapitulation concernant la Méthode de 1803 (2e partie)
• Le belcanto, objet de pouvoir
• Enseignement mutuel au XIXe siècle
• La Raccolta de Crescentini
• Que propose Crescentini aux élèves pour perfectionner leur chant ?
• Le rôle du maitre, chez Crescentini
• Les exercices de Garda père
• Contenus d'enseignement, chez Garcia père
• La notion de "s'exercer" et la valorisation du travail "acharné"
• Garda père et sa manière particulière d'enseigner le chant
• La feuille de Porpora
• Ressemblances entre la feuille de Porpora et les exercices de Garda père
• Émergence de la notion de belcanto
• Garda père (1824) et la notion d'artiste
• Différents modes de lecture et leur oubli : De Garaudé (c. 1835)
• Récapitulation concernant les contenus des traités de Crescentini et Garda père
• Le chant d'autrefois : rupture de pratiques
• La construction d'un répertoire classique : Schubert traduit en français
• Le contre-ut de Duprez : rupture de tradition
• Les différentes manières de respirer d'après le Dr Mandl
• Exercices pour "corriger" la manière défectueuse de respirer et notion de lotta vocale
• Changement de paradigme : l'adoption de l'approche scientifique
• L'actio des chanteurs au me siècle : voix et geste
• Bon goût et expression
• Gammes pour apprendre l'expression

• Principes de l'expression déduits de l'écrit musical
• Conséquences des transformations du monde référentiel des chanteurs
• Récapitulation concernant la rupture de pratiques, vers le milieu du XIXe siècle
• Peut-on considérer les contenus du traité de Manuel Garda fils (1841-1847) comme belcantistes?
• Compromis entre l'ancienne tradition et approche scientifique du chant
• Contenus d'enseignement : Garcia fils
• Des contenus concernant l'expression
• Conseils pour travailler
• Ce que représente le traité complet de Garcia fils
• La notion de style
• Procédés au service de l'expression
• Comment enseignait Garda
• Récapitulation concernant le livre de Garda fils
• Méthodes au féminin
• Damoreau, Viardot-Garcia et Marchesi : trois approches de l'enseignement du chant
• Damoreau : contenus d'enseignement et rapport au maître
• Le piano comme milieu didactique, au service de l'apprentissage du chant : Viardot-Garcia
• Mathilde Marchesi : l'école de Garda systématisée
• Récapitulation concernant des méthodes rédigées par des musiciennes
• Un problème d'art
• Maurel et son rapport à l'art
• Audubert, entre tradition et modernité
• Le sentiment de "perte" de tradition
• L'obsolescence des savoirs : les deux méthodes de Lamperti
• Enquête sur le belcanto dans la revue Musica
• Reynaldo Hahn et le "désespoir académique"
• Le chanteur français ou le mime spécialisé : Fugère et Duhamel
• Métaphores
• Techniques de relaxation
• Récapitulation concernant des textes publiés au tournant du XXe siècle.

"Qu'est-ce que le belcanto ? Devant une grande variété de définitions, Isabel Balmori se positionne comme enseignante du chant, associant son expérience comme musicienne à la méthodologie de recherche scientifique de la didactique. Le belcanto est souvent décrit comme un monde idéal, difficile à atteindre, qui séduit par l'étrangeté de ses voix et les capacités hors du commun de ses chanteurs. L'autrice s'intéresse plutôt au belcanto du quotidien, à celui qui correspond à une réalité des pratiques. Elle a recours à des témoignages laissés par l'écrit, depuis le début du XVe siècle : traités, méthodes mais également récits d'apprentissage ou romans. La transposition didactique est au coeur de son travail. Comment des savoirs et des pratiques, transmis pendant des générations de maître à disciple, ont-ils été scripturalisés et présentés comme la référence institutionnalisée du "bien faire" ? Quel intérêt, pour des praticiens et didacticiens aujourd'hui, de se pencher sur cet immense chantier de construction de savoirs en constante ébullition ?"--Page 4 of cover.

""C'est notre mère qui est là, jeune, mince, grande, ses longs cheveux noirs jetés sur ses épaules. C'est elle, la Belle Dame enfin apparue. Elle nous sauve." est le début de l'été et la toute fin des années 60, dans une ville morne des Alpes. Une montagne surplombe l'agglomération. À son sommet, une énorme statue de la Vierge veille sur la vallée. Un petit garçon observe sa famille et s'interroge : son père avale régulièrement tous ses cachets de Belladone ; sa mère est autoritaire, son frère aîné est une véritable brute et sa petite soeur est réduite au silence. Comment s'échapper de cet univers étouffant ? Par ou fuir ? Dans ce court roman noir écrit au cordeau, Hervé Bouge' agite des ombres et explore les chemins de l'enfance."--Page 4 of cover.