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• 1. Introduction2. Evolutionary Continuity between Human Person and Cyborg Person3. Semiotic Approach to Person and Cyborg Person4. Person in a Social and Technological World5. New Forms of Embodiment6. Cyborg and Material Communication7. Vitalist, Posthuman, and Environmental Ethics8. Possibility of Cyborgean Ethics and Politics9. Conclusions for Future.
• (source: Nielsen Book Data)

This book presents argumentation for an evolutionary continuity between human persons and cyborg persons, based on the thought of Joseph Margolis. Relying on concepts of cultural realism and post-Darwinism, Aleksandra Lukaszewicz Alcaraz redefines the notion of the person, rather than a human, and discusses the various issues of human body enhancement and online implants transforming modes of perception, cognition, and communication. She argues that new kinds of embodiment should not make acquiring the status of the person impossible, and different kinds of embodiments may be accepted socially and culturally. She proposes we consider ethical problems of agency and responsibility, critically approaching vitalist posthuman ethics, and rethinking the metaphysical standing of normativity, to create space for possible cyborgean ethics that may be executed in an Extended Republic of Humanity.
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction: Religion-Like Situations
• Rosalie: Psychiatric Nearhuman
• Juca Rosa: Photographic Nearhuman
• Anastácia: Saintly Nearhuman
• Ajeeb: Automaton Nearhuman
• Chico X: Legal Nearhuman
• Conclusion: Agency and Automatic Freedom

What distinguishes humans from nonhumans? Two common answers- free will and religion-are in some ways fundamentally opposed. While free will enjoys a central place in our ideas of spontaneity, authorship, and the conscious weighing of alternatives, religion is less a quest for agency than a series of practices that relieve individuals of their will. What, then, is agency, and why has it occupied such a central place in theories of the human? Automatic Religion explores an unlikely series of episodes from the end of the nineteenth century, when crucial ideas related to automatism and, in a different realm, religion as a topic of study were both being born. Paul Christopher Johnson draws on years of archival and ethnographic research in Brazil and France to explore the consequential lines that were being drawn between humans, "nearhumans, " and automata. As agency came to take on a more central place in the philosophical, moral, and legal traditions of the West, certain classes of people were being excluded as less-than-human. Tracking the circulation of ideas across the Atlantic, Johnson tests those boundaries, revealing how they were constructed on largely gendered and racial foundations. In the process, he reanimates one of the most mysterious and yet foundational questions in trans-Atlantic thought: what is agency?
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction: Religion-Like Situations
• Rosalie: Psychiatric Nearhuman
• Juca Rosa: Photographic Nearhuman
• Anastácia: Saintly Nearhuman
• Ajeeb: Automaton Nearhuman
• Chico X: Legal Nearhuman
• Conclusion: Agency and Automatic Freedom

What distinguishes humans from nonhumans? Two common answers- free will and religion-are in some ways fundamentally opposed. While free will enjoys a central place in our ideas of spontaneity, authorship, and the conscious weighing of alternatives, religion is less a quest for agency than a series of practices that relieve individuals of their will. What, then, is agency, and why has it occupied such a central place in theories of the human? Automatic Religion explores an unlikely series of episodes from the end of the nineteenth century, when crucial ideas related to automatism and, in a different realm, religion as a topic of study were both being born. Paul Christopher Johnson draws on years of archival and ethnographic research in Brazil and France to explore the consequential lines that were being drawn between humans, "nearhumans, " and automata. As agency came to take on a more central place in the philosophical, moral, and legal traditions of the West, certain classes of people were being excluded as less-than-human. Tracking the circulation of ideas across the Atlantic, Johnson tests those boundaries, revealing how they were constructed on largely gendered and racial foundations. In the process, he reanimates one of the most mysterious and yet foundational questions in trans-Atlantic thought: what is agency?
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction : L'analytique ousiologique et les trois essences de la transcendance
• La transcendance comme absolu : l'extériorité et la pluralité
• La transcendance comme absolu ou auto-relation absolue : l'être hors d'être
• La transcendance comme factualité absolue
• La transcendance ou l'extériorité comme pluralité
• L'absolu transcendant comme hétérogénéité ou transcontinuité plurielle
• L'absolu transcendant comme énergie
• La transcendance comme absolu sui generis et l'ouverture aux autres absolus
• La transcendance comme non-représentation et non-objectivité : l'extériorité en soi
• La transcendance comme non-objectivité
• La transcendance comme non-représentation et non-conscience
• La transcendance comme inconscient réel et la conscience comme abstraction
• La transcendance comme extériorité en soi ou ouverture pure
• La transcendance comme spontanéité vitale concrète
• La transcendance comme preuve non démonstrative de la pluralité des inconscients
• La transcendance comme manifestation absolue : la parousie externe
• La transcendance absolue comme manifestation absolue : la non-occultation
• La transcendance absolue comme parousie externe ou auto-visibilité non objective
• La parousie transcendante comme évidence non représentative
• La parousie transcendante comme instantialité et factualité
• La parousie transcendante comme énergie
• La parousie plurielle transcendante et l'irradiation des absolus
• La transcendance comme auto-contenu positif : l'énergie non pro-cessuelle
• La transcendance comme auto-contenu ou auto-matière
• La transcendance comme positivité ou auto-contenu positif
• La transcendance comme soubresaut d'être purement positif : l'ontologie positive
• La transcendance comme énergie non processuelle
• La transcendance comme auto-loi de l'extériorité
• La transcendance comme preuve non processuelle absolue des absolus processuels
• La transcendance comme auto-réalité et auto-science : l'analytique ousiologique
• La transcendance comme science concrète
• La transcendance comme auto-parousie scientifico-réelle
• La transcendance comme auto-ousiologie ou auto-onto-phénoménologie
• La transcendance comme auto-analytique externe
• La transcendance comme analytique ousiologique
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-preuve transcendante de la pluralité des absolus
• La transcendance plurielle comme absolu sui generis de la non-renonciation et la preuve de la pluralité des absolus : la transduction transcendante comme preuve de la transduction immanentale
• La transcendance comme absolu sui generis de la non-renonciation
• La transcendance plurielle comme preuve de la pluralité des absolus ou la non-renonciation comme preuve des renonciations
• La transcendance plurielle comme sphère non renonciatrice de l'auto-preuve plurielle non renonciatrice des absolus
• L'irréductibilité de la transcendance plurielle et de l'immanental pluriel : la transduction transcendante comme preuve de la transduction immanentale
• La transduction immanentale comme transduction divine, humanité et tolérance et le respect des essences transcendantes

• L'aliénation de la transcendance comme confusion des extériorités ou auto-négation : les monismes de la transcendance. L'auto-réforme de l'aliénation
• L'aliénation comme abstraction, représentation et conscience
• L'aliénation de la transcendance comme confusion des extériorités et des absolus : la conscience divine et les extériorités
• L'aliénation comme fermeture et occultation
• L'aliénation comme intolérance et irrespect : l'auto-négation
• L'aliénation comme exclusivisme ou monisme de la transcendance
• L'auto-réforme ou l'auto-contenance de l'aliénation par la réalité radicale
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode et l'extériorité comme espace
• Les essences de la spatialité concrète
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme auto-méthode et auto-contenu
• L'auto-méthode analytique comme non-conscience
• L'auto-méthode analytique comme parousie vitale non processuelle
• Critique de l'explication pure métaphysique et de la description pure phénoménologique
• L'auto-méthode analytique comme auto-explication dans l'auto-description : la méta-phénoménologie de la transcendance
• L'auto-méthode analytique de la transcendance comme auto-réduction dans la non-réduction ou auto-réforme de l'abstraction théorique : l'auto-méthodologie transcendante
• L'analytique ousiologique de la transcendance et la spatialité concrète comme auto-réforme de la spatialité mathématique
• La transcendance comme espace ou spatialité concrète
• La transcendance comme spatialité concrète et l'espace abstrait mathématique
• La spatialité transcendante comme auto-analytique méthodique
• La spatialité concrète comme contenance de la spatialité abstraite
• L'analytique transcendante comme auto-réforme de la spatialité abstraite mathématique
• La spatialité concrète comme ouverture à la temporalité interne et à la temporalité logique de la pensée
• Les déterminations onto-phénoménologico-ousiologiques de l'extériorité
• La gradation des déterminations ontologique, phénoménologique et ou-siologique
• La détermination ontologique de l'extériorité et de son aliénation
• La détermination phénoménologique de l'extériorité et de son aliénation
• La détermination ousiologique de l'extériorité et de son aliénation
• L'auto-réforme et la contenance de l'aliénation ousiologique externe par la réalité ousiologique transcendante
• La preuve externe des non-extériorités dans ses déterminations ontologico-phénoménologico-ousiologiques
• Les trois essences de la transcendance ou les trois lieux de la spatialité concrète : la co-existence, le respect et l'espace
• Les essences de la transcendance comme lieux ousiologiques
• L'essence transcendante comme indétermination externe ou autrui
• L'essence transcendante comme détermination externe ou chose
• L'essence transcendante comme relation externe ou technique
• Différence entre l'essence technique et les autres sphères ousiologiques. Aperçu sur le problème de l'aliénation
• La co-existence, le respect et l'espace
• L'espace ou le respect transcendant de la pluralité des absolus
• L'âme, le corps et le temps des essences de la transcendance

• L'auto-formalité et l'auto-contenance des lieux transcendants
• L'âme ou l'auto-spiritualité des essences externes
• Le corps ou l'auto-matérialité des essences externes
• Le temps ou l'auto-spiritualité matérielle des essences externes
• L'analytique ousiologique comme spiritualisme et matérialisme
• L'analytique matérielle spirituelle comme auto-respect des essences et respect des absolus
• L'auto-méthode analytico-spatiale de la transcendance comme trie-fraction dans la transduction. L'auto-méthode analytique comme sphère de l'auto-méthode systématique théologique
• L'auto-méthode analytico-spatiale de la transcendance comme triffraction dans la transduction
• Différence entre la triffraction dans la transduction transcendante et les trinités immanente et transcendantales
• Différence entre la triffraction dans la transduction transcendante et la triffraction dans la transduction divine des absolus
• L'auto-méthode analytique comme sphère de l'auto-méthode systématique théologique. La triffraction externe comme sphère de la triffraction divine
• La factualité et l'instantialité analytico-ousiologique de la transcendance. L'auto-attitude analytico-ousiologique
• La factualité instantielle transcendante comme sphère de la factualité divine ou de la tolérance théologique
• L'altérologie ousiologique comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : autrui
• L'altérologie ousiologique comme science concrète d'autrui
• Autrui comme altérologie ousiologique ou science concrète de l'indétermination transcendante
• Autrui comme instantialité non intentionnelle : critique de l'inter-subjectivité
• Autrui comme parousie transcendante : l'altérologie phénoménologique
• Autrui comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : l'altérologie ontologique
• Autrui comme essence non processuelle : l'altérologie ousiologique
• La pluralité sui generis d'autrui et la co-existence comme respect des extériorités
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant qu'autrui
• Autrui comme sphère de l'extériorité. L'altérologie comme sphère de l'analytique
• Autrui comme sphère du divin. L'altérologie comme sphère de la systématique : la valeur
• Autrui comme tolérance et respect des extériorités
• La négation d'autrui ou l'aliénation : critique de la psychanalyse
• La co-existence comme participation horizontale d'autrui aux autres essences de la transcendance : le visage, l'acte et le discours
• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : autrui comme participant sui generis
• La participation horizontale d'autrui aux autres essences comme altérologie analytico-ousiologique
• La participation horizontale transcendante d'autrui aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'auto-participation horizontale externe d'autrui à soi : le visage
• La participation horizontale d'autrui à la chose : l'acte
• La participation horizontale d'autrui à la technique : le discours
• L'aliénation d'autrui comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales
• L'aliénation d'autrui comme refermement pur
• L'aliénation d'autrui comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange

• L'aliénation d'autrui et sa détermination ontologico-phénoménologi-co-ousiologique
• L'aliénation d'autrui comme marionnette ou esclave
• L'aliénation de la participation d'autrui à soi-même : le masque ou la négation du visage
• L'aliénation de la participation d'autrui à la chose : le fantasme ou la négation de l'acte
• L'aliénation de la participation d'autrui à la technique : le silence ou la négation du discours
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte d'autrui contre son contenu aliénant : le sourire, la caresse et l'invention
• L'ouverture d'autrui aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : autrui comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences non externes comme altérologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences de l'immanence : l'amant, le frère et le compagnon
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences du transcendantal : l'ami, le camarade et le partenaire
• L'ouverture horizontale d'autrui aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle divine des absolus
• L'aliénation de la fermeture d'autrui aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'aliénation d'autrui comme fermeture pure horizontale ou la relativisation
• L'aliénation d'autrui comme négation des coexistences : l'intolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation d'autrui et leur détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation ou la fermeture d'autrui aux essences de l'immanence : le rival, l'étranger et le concurrent
• L'aliénation ou la fermeture d'autrui aux essences de la pensée : l'inimitié, l'esclavage et l'adversité
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte d'autrui contre ses contenus fermés ou aliénés
• La pragmatologie ousiologique comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : la chose
• La pragmatologie ousiologique comme science concrète de la chose
• La chose comme pragmatologie ousiologique ou science concrète de la détermination transcendante
• La chose comme instantialité non intentionnelle : critique de la substantialité et de l'objectivité
• La chose comme parousie transcendante : la pragmatologie phénoménologique
• La chose comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : la pragmatologie ontologique
• La chose comme essence non processuelle : la pragmatologie ousiologique
• La pluralité sui generis de la chose et la co-existence comme respect des extériorités : la pragmatologie comme ousiologie écologique
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant que chose
• La chose comme sphère de l'extériorité. La pragmatologie comme sphère de l'analytique
• La chose comme sphère du divin. La pragmatologie comme sphère de la systématique
• La chose comme respect des extériorités : la pragmatologie écologique. Anticipation sur la critique de l'économie objective
• La négation de la chose ou l'aliénation comme pollution : critique du scientisme et du technicisme
• La co-existence comme participation horizontale de la chose aux autres essences de la transcendance

• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : la chose comme participant sui generis
• La participation horizontale transcendante de la chose aux autres essences comme pragmatologie analytico-ousiologique
• La participation horizontale transcendante de la chose aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique : la valeur
• La participation horizontale externe de la chose à autrui : la valeur de la chose comme significativité
• L'auto-participation horizontale externe de la chose à soi : la valeur de la chose comme oeuvre ou gratuité
• La participation horizontale de la chose à la technique : la valeur de la chose comme produit ou utilité
• L'aliénation de la chose comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales
• L'aliénation de la chose comme refermement pur
• L'aliénation de la chose comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange
• L'aliénation de la chose et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation de la chose ou le refermement pur comme fantôme
• L'aliénation de la participation de la chose à autrui : l'insignifiance ou l'opacité, la négation de la significativité
• L'aliénation de la participation de la chose à soi : l'instrument, la négation de l'oeuvre ou de la gratuité
• L'aliénation de la participation de la chose à la technique : le déchet, la négation de l'utilité ou du produit
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la chose contre son contenu aliénant : l'interprétation, la libération et le recyclage
• L'ouverture de la chose aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal : la pragmatologie ousiologico-sociale
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : la chose comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes comme pragmatologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences de l'immanence : la gracieuseté comme don, cadeau et présent
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences du transcendantal : la propriété ou l'échange comme prêt, bien et troc ou marchandise
• L'ouverture horizontale de la chose aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle divine des absolus : la pragmatologie ousiologico-sociale
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal : la pragamatologie ousiologico-économique
• L'aliénation de la chose comme fermeture pure horizontale ou la relativisation. L'aliénation de la pragmatologie comme économie
• L'aliénation de la chose comme négation des coexistences : l'intolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation de la chose et leur détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de l'immanence : la monnaie, le profit et le capital
• L'aliénation ou la fermeture de la chose aux essences de la pensée : la dette, l'intérêt et la spéculation

• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la chose contre son contenu fermé : le travail, le salaire et la consommation, l'épargne, l'entreprise et l'investissement. La pragmatologie économique
• La technologie générale ou la mécanologie comme sphère de l'analytique ousiologique de la transcendance : la technique
• La technologie générale ou la mécanologie comme science concrète de la technique
• La technique comme technologie générale ou mécanologie, la science concrète de la technique
• La technique comme instantialité non intentionnelle et non consciente
• La technique comme parousie transcendante : la mécanologie phénoménologique
• La technique comme immanence dans la transcendance dans la transcendance : la mécanologie ontologique
• La technique comme essence non processuelle : la mécanologie ousio-logique
• La pluralité sui generis de la technique et la co-existence comme respect des extériorités
• La pluralité transcendante et la pluralité en tant que technique
• La technique comme sphère de l'extériorité. La mécanologie ou la technologie générale comme sphère de l'analytique
• La technique comme sphère du divin, la mécanologie comme sphère de la systématique ou de l'encyclopédie ontologico-géographique et théologique des essences
• La technique comme tolérance et respect des extériorités
• La négation de la technique comme abstraction et l'aliénation comme pollution : critique de l'écologie et du technicisme comme transhumanisme
• La co-existence comme participation horizontale de la technique aux autres essences de la transcendance : l'auto-relation des participations aux essences ousiologiques
• La co-existence comme participation horizontale mutuelle des essences externes : la technique comme participant sui generis
• La participation horizontale transcendante de la technique aux autres essences comme mécanologie ou technologie générale analytico-ousiolo-gigue
• La participation horizontale transcendante de la technique aux autres essences et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• La participation horizontale externe de la technique à autrui : la machine
• La participation horizontale externe de la technique à la chose : l'outil
• L'auto-participation horizontale externe de la technique à soi : le robot
• L'auto-relation des participations relationnelles horizontales techniques aux essences ousiologiques : la participation de la participation
• La participation de la machine aux essences : le moteur, la transmission et la machine d'opération
• La participation de l'outil aux essences : l'instrument, l'ustensile et l'appareil
• La participation du robot aux essences : la télécommande, la régulation et l'asservissement
• L'aliénation de la technique comme refermement pur et l'aliénation des co-existences ou des participations horizontales externes
• L'aliénation de la technique comme refermement pur : la relativisation externe
• L'aliénation de la technique comme négation des co-existences ou des participations horizontales : l'intolérance ou le mélange. L'absolutisation externe
• L'aliénation de la technique et sa détermination ontologico-phénoméno-logico-ousiologique
• L'aliénation de la technique ou le refermement pur comme arme
• L'aliénation de la participation de la technique à autrui : l'arme à feu ou la négation de la machine

• L'aliénation de la participation technique à la chose : l'arme blanche ou la négation de l'outil
• L'aliénation de la participation de la technique à soi-même : la bombe ou la négation du robot
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la technique contre son contenu aliénant comme auto-confiance
• L'aliénation de l'auto-relation ou de l'auto-participation de la participation relationnelle technique aux essences ousiologiques
• La négation de la participation de la machine aux essences : l'arme de poing, l'arme légère et le canon
• La négation de la participation de l'outil aux essences : le poignard, l'épée et le sabre
• La négation de la participation du robot aux essences : le missile, l'arme biologique et l'arme nucléaire
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de l'auto-participation de la participation technique contre son contenu aliénant
• L'ouverture de la technique aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'ouverture horizontale de l'essence aux essences d'un absolu irréductible : la technique comme ouverture sui generis
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes comme technologie générale ou mécanologie analytico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences de l'immanence : l'énergie, le mouvement et l'information
• L'ouverture de l'ouverture de la technique comme auto-relation redoublée aux essences immanentes
• L'ouverture de l'énergie à l'indétermination immanente : l'énergie thermique
• L'ouverture de l'énergie à la détermination immanente : l'énergie mécanique
• L'ouverture de l'énergie à la relation immanente : l'énergie électrique
• L'ouverture du mouvement à l'indétermination immanente : la production des matériaux
• L'ouverture du mouvement à la détermination immanente : l'usinage
• L'ouverture du mouvement à la relation immanente : la fonction ou la locomotion
• L'ouverture de l'information à l'indétermination immanente : le transistor bipolaire
• L'ouverture de l'information à la détermination immanente : le transistor MOSFET
• L'ouverture de l'information à la relation immanente : le système CMOS
• L'ouverture à trois degrés de la technique comme mouvement aux essences immanentes
• Les ouvertures de la production des matériaux aux essences de l'immanence : l'affinage ou le raffinage, la fonderie ou la conversion, le soudage ou l'extraction des produits pétroliers
• Les ouvertures de l'usinage aux essences de l'immanence : l'enlèvement des copeaux, le découpage et le formage
• Les ouvertures de la fonction ou de la locomotion aux essences de l'immanence : la locomotion, la machine-outils et l'appareillage ménager
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences du transcendantal : la production, la fabrication et l'interconnexion
• L'ouverture horizontale de la technique aux essences non externes comme sphère de l'auto-ouverture mutuelle des absolus
• L'aliénation ou la fermeture de la technique aux essences de l'immanence et aux essences du transcendantal
• L'aliénation de la transcendance comme fermeture pure horizontale ou relativisation

• L'aliénation de la transcendance comme négation des co-existences : la tolérance, le mélange et l'absolutisation
• L'aliénation, l'absolutisation ou la relativisation technique et sa détermination ontologico-phénoménologico-ousiologique : le technicisme
• L'aliénation ou la fermeture de la technique aux essences de l'immanence : la perte d'énergie, l'arrêt et la fuite
• L'aliénation ou la fermeture de la transcendance aux essences de la pensée : l'inhibition, le dysfonctionnement et la déconnexion
• L'auto-réforme ou l'auto-lutte de la transcendance contre son contenu aliéné : le rendement, l'entretien, l'adaptation et l'invention. Le progrès technique
• Conclusion : l'analytique ousiologique de la transcendance comme culture et comme propédeutique à l'ousiologie théologique
• L'analytique ousiologique de la transcendance comme culture ou culturel : la tolérance
• Critique des idées de monde et de civilisation
• La culture comme culturel ou la tolérance comme co-existence instantielle des extériorités
• Le culturel comme pluralité de vérités
• La culture ou le culturel comme espace
• La transcendance comme sphère de cimmanental : l'analytique ou-siologique comme propédeutique à l'ousiologie théologique : l'essence de l'humanité
• La transcendance comme sphère de l'immanental et preuve de la non-extériorité
• L'analytique ousiologique comme propédeutique à la systématique ou-siologique ou à l'ousiologie théologique
• Les déterminations ontologico-phénoménologico-ousiologiques de la transcendance et de l'immanental
• La transcendance ou l'extériorité comme sphère de l'humanité
• La transcendance comme privilège et la pluralité des privilèges
• La participation verticale universelle de tous les étants à la transcendance et à tous les absolus du divin
• La participation verticale universelle de tous les étants aux essences de la transcendance
• La participation verticale universelle de tous les étants à tous les absolus du divin
• Les problèmes de l'irréductibilité entre l'extériorité, l'art, la nature et le droit
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et l'art
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et la nature
• L'irréductibilité entre l'extériorité culturelle et le droit
• La culture transcendante contre les trois formes de barbarie.

"Ce livre met en oeuvre la méthode philosophique de l'ousiologie pour l'étude de l'extériorité. Il s'agit de définir les trois essences de l'altérité comme autrui, chose et technique. La véritable tolérance, comme réalité et non comme simple idéal, ne concerne pas seulement la sphère d'autrui mais la coexistence d'autrui avec, d'abord, les choses, dans leur valeur notamment économique, et avec, ensuite, la technique. Dans une perspective autant inspirée par Aristote et Simondon que par Lévinas, il s'agit de garantir ou plutôt de reconnaître la dignité d'être et de valeur des différentes sphères du réel comme transcendance. La perversion consiste dans la confusion entre les essences, par exemple dans la confusion entre la chose et la technique. Derrière une analyse conceptuelle rigoureuse, ce livre cache une condamnation de la théorie abstraite et de la confusion systématique, un hymne respectueux à la pluralité du réel."--Page 4 of cover.

• Avoir le temps
• Manquer de temps
• L'étrange dépossession
• Un problème de qualité
• Les giga-sabliers existentiels
• Zigzags de l'esprit
• Un rythme à soi
• Organiser le temps
• Fusionner le linéaire et le cyclique : la spirale
• Nos vies en courbes
• Destin, Progrès, Hypertemps, Délai et Occasion
• Diachronie
• Destin
• Chronocrator, le Destin
• Face à une coquille
• La patience
• Progrès
• Le progrès, quelque part dans l'inachevé
• L'avenir nous appartient
• L'invention du ressort à spirale
• De l'heure dorée à l'or des montres
• Mesurer le temps, connaître le monde
• Métier ou travail ?
• Acheter le temps
• Sublimons !
• La spirale penchée de Tatlin
• La double hélice du progrès utile et subtil
• Hypertemps
• Omniprésence du temps
• Présentifier
• L'écran, ou le présent numérisé
• Logiciel et logistique
• L'horaire, ou le présent planifié
• Maintenant = (Choix x Énergie) / Contretemps
• Le crédit, ou le présent financé
• La croissance perpétuelle
• Théorie des ultraforces
• Les spirales loxodromiques d'Escher
• Délai
• La Spiral Jetty de Robert Smithson
• No future : le compte à rebours
• Apocalypse de Patmos à Paris
• Le temps d'un virus : histoire d'un basculement
• La planète-vers-la-mort ?
• Interrogations néo-heideggériennes
• L'"afuturalgie", crime contre la jeunesse
• Synchronie
• Penser en 4D
• Extension du non finito
• Nous, les anachroniques
• Ici ralentir, là accélérer
• Chaque chose en son temps : une thérapie
• La posthistoire comme métissage temporel
• La méta spirale
• Fusionner le diachronique et le synchronique
• Histoire fatale et histoire plurale
• Quand le progrès repasse
• L'Occasion.

"Être, c'est avoir du temps. Et ne jamais avoir le temps, c'est être à moitié, vivre à demi. Le propre de notre civilisation est de vivre simultanément sous quatre régimes temporels qui s'entrechoquent : le Destin, le Progrès, l'Hypertemps et le Délai de la catastrophe écologique. De là viennent autant la fabuleuse complexité de ce que nous vivons que les impasses redoutées. Car notre attitude envers le temps a l'impact le plus profond sur notre vie. Nous naviguons entre nostalgie du passé, addiction au présent et espoir des lendemains qui chantent. Dès lors quelle temporalité privilégier? Dans l'Hypertemps contemporain, l'heure est partout, le temps nulle part. Comment le retrouver? Tout le défi est de construire une sagesse du temps à la mesure des enjeux actuels : une chronosophie."--Page 4 of cover.

• Acknowledgments vii Introduction
• 1 Part I: Ecstasy
• 1. Along the Psychic Highway: Black Women Mystics and Utopias of the Ecstatic
• 23
• 2. Lovely Sky Boat: Alice Coltrane and the Metaphysics of Sound
• 59 Part II: Evolution
• 3. Our Place is Among the Stars: Octavia E. Butler and the Preservation of Species
• 83
• 4. Speculative Life: Utopia Without the Human
• 111 Part III: Sense and Matter
• 5. In the Realm of the Senses: Heterotopias of Subjectivity, Desire, and Discourse
• 137
• 6. The Freedom Not to Be: Sun Ra's Alternative Ontology
• 155 Conclusion
• 177 Notes
• 179 Bibliography
• 195 Index 205.
• (source: Nielsen Book Data)

In Black Utopias Jayna Brown takes up the concept of utopia as a way of exploring alternative states of being, doing, and imagining in Black culture. Musical, literary, and mystic practices become utopian enclaves in which Black people engage in modes of creative worldmaking. Brown explores the lives and work of Black women mystics Sojourner Truth and Rebecca Cox Jackson, musicians Alice Coltrane and Sun Ra, and the work of speculative fiction writers Samuel Delany and Octavia Butler as they decenter and destabilize the human, radically refusing liberal humanist ideas of subjectivity and species. Brown demonstrates that engaging in utopian practices Black subjects imagine and manifest new genres of existence and forms of collectivity. For Brown, utopia consists of those moments in the here and now when those excluded from the category human jump into other onto-epistemological realms. Black people-untethered from the hope of rights, recognition, or redress-celebrate themselves as elements in a cosmic effluvium.
(source: Nielsen Book Data)

• Acknowledgments vii Introduction
• 1 Part I: Ecstasy
• 1. Along the Psychic Highway: Black Women Mystics and Utopias of the Ecstatic
• 23
• 2. Lovely Sky Boat: Alice Coltrane and the Metaphysics of Sound
• 59 Part II: Evolution
• 3. Our Place is Among the Stars: Octavia E. Butler and the Preservation of Species
• 83
• 4. Speculative Life: Utopia Without the Human
• 111 Part III: Sense and Matter
• 5. In the Realm of the Senses: Heterotopias of Subjectivity, Desire, and Discourse
• 137
• 6. The Freedom Not to Be: Sun Ra's Alternative Ontology
• 155 Conclusion
• 177 Notes
• 179 Bibliography
• 195 Index 205.
• (source: Nielsen Book Data)

In Black Utopias Jayna Brown takes up the concept of utopia as a way of exploring alternative states of being, doing, and imagining in Black culture. Musical, literary, and mystic practices become utopian enclaves in which Black people engage in modes of creative worldmaking. Brown explores the lives and work of Black women mystics Sojourner Truth and Rebecca Cox Jackson, musicians Alice Coltrane and Sun Ra, and the work of speculative fiction writers Samuel Delany and Octavia Butler as they decenter and destabilize the human, radically refusing liberal humanist ideas of subjectivity and species. Brown demonstrates that engaging in utopian practices Black subjects imagine and manifest new genres of existence and forms of collectivity. For Brown, utopia consists of those moments in the here and now when those excluded from the category human jump into other onto-epistemological realms. Black people-untethered from the hope of rights, recognition, or redress-celebrate themselves as elements in a cosmic effluvium.
(source: Nielsen Book Data)

"Psychologists, economists, historians, computer scientists, sociologists, philosophers, and legal scholars discuss when is deliberate ignorance a virtue, and what type of environment does it require"-- Provided by publisher.

• Introduction I. Knowledge and understanding
• 1. What is Knowledge?
• 2. Must Knowers Be Agents?
• 3. Recovering Understanding
• 4. Towards a Theory of Understanding II. Intellectual Virtue
• 5. Intellectual Virtues: Admirable Traits of Character
• 6. Trust
• 7. Intellectual Virtue Terms and the Division of Linguistic Labor III. Epistemic Value
• 8. From Reliabilism to Virtue Epistemology
• 9. The Search for the Source of Epistemic Good
• 10. Intellectual Motivation and the Good of Truth
• 11. Epistemic Value and the Primacy of What We Care About IV. Virtue in Religious Epistemology
• 12. Religious Knowledge and the Virtues of the Mind
• 13. Phronesis and Religious Belief
• 14. Religious Trust, Anti-trust, and Reasons for Religious Belief V. Intellectual Autonomy and Authority
• 15. Ethical and Epistemic Egoism and the Ideal of Autonomy
• 16. A Defense of Epistemic Authority
• 17. Intellectual Autonomy VI. Skepticism and the Gettier Problem
• 18. The Inescapability of Gettier Problems
• 19. First Person and Third Person Reasons and the Regress Problem
• 20. The Moral Transcendental Argument Against Skepticism.
• (source: Nielsen Book Data)

This collection showcases the most influential published essays by philosopher Linda Trinkaus Zagzebski. One of the most distinguished thinkers working in epistemology today, particularly where the theory of knowledge meets ethics and the philosophy of religion, Zagzebski is well-known for broadening epistemology and refocusing it on epistemic virtue and epistemic value. Her work has greatly influenced the trajectory of contemporary epistemology, opening up new fields in analytic epistemology. The papers collected here are organized into six sections to underline the scope of her impact on six key subject areas of epistemology: (1) knowledge and understanding, (2) intellectual virtue, (3) epistemic value, (4) virtue in religious epistemology, (5) intellectual autonomy and authority, and (6) skepticism and the Gettier problem.
(source: Nielsen Book Data)

"Natural kinds is a widely used and pivotal concept in philosophy, being the idea that the classifications and taxonomies employed by science correspond to the real kinds in nature. Natural kinds are often opposed to the idea of kinds in the social sciences, which are characterised by changing norms and practices and resist scientific reduction. Yet human beings are also a subject of scientific study. Does this mean they have a corresponding kind of their own? If there is such a thing as human kinds, do they have essences? In The Epistemology and Morality of Human Kinds Marion Godman defends the idea of human kinds. She first examines the formation and nature of human kinds, considering the arguments of key philosophers whose work bears upon human kinds, such as Ian Hacking, John Searle, Richard Boyd and Ruth Millikan. Using the examples of gender, Buddhism and mental disorder she then argues that human kinds are a result of ongoing historical reproduction, either cultural or consisting of a blend of cultural and biological reproducibility. Her novel argument shifts the focus away from the reductionism characteristic of research about human kinds. Instead, she argues that they are 'multiply projectible' and deserving of scientific study not in spite of, but because of their role in explaining our identity, culture and social membership"-- Provided by publisher.

Groups are often said to bear responsibility for their actions, many of which have enormous moral, legal, and social significance. When children were separated from their parents or guardians at the U.S.-Mexico border as part of America's immigration policy, for example, the Trump Administration was said to be responsible for the harms these families suffered as a result. But are groups subject to normative assessment simply in virtue of their individual members being so, or are they somehow agents in their own right? Answering this question depends on understanding key concepts in the epistemology of groups, as we cannot hold the Trump Administration responsible without first determining what it believed, knew, and said. Deflationary theorists hold that group phenomena can be understood entirely in terms of individual members and their states. Inflationary theorists maintain that group phenomena are importantly over and above, or otherwise distinct from, individual members and their states. In The Epistemology of Groups Jennifer Lackey argues that neither approach is satisfactory. Groups are more than their members, but not because they have 'minds of their own, ' as the inflationists hold. Instead, she shows how group phenomena-like belief, justification, and knowledge-depend on what the individual group members do or are capable of doing while being subject to group-level normative requirements. This framework allows for the correct distribution of responsibility across groups and their individual members.
(source: Nielsen Book Data)

Nathan L. King's The Excellent Mind considers the importance of the intellectual virtues: the character traits of excellent thinkers. He explains what it means to have an excellent mind: one that is curious, careful, self-reliant, humble, honest, persevering, courageous, open, firm, and wise. Drawing from recent literature in philosophy and psychology, he considers what these virtues are like in practice, why they are important, and how we grow in them. King also argues that despite their label, these virtues are not just for intellectuals: they are for everyone. He shows how intellectual virtues are critical to living everyday life, in areas as diverse as personal relationships, responsible citizenship, civil discourse, personal success, and education. Filled with vivid examples and relevant applications, The Excellent Mind will serve as an engaging introduction to the intellectual virtues for students and anyone interested in the topic.
(source: Nielsen Book Data)

• 1. Introduction
• 2. What Experts Do
• 3. Building a Philosophy of Expertise
• 4. Truth-tracking Accounts
• 5. Performance-tracking Accounts
• 6. The Epistemic Facility Account
• 7. Expertise and Disagreement
• 8. The Limits of Expertise Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

What does it mean to be an expert? What sort of authority do experts really have? And what role should they play in today's society? Addressing why ever larger segments of society are skeptical of what experts say, Expertise: A Philosophical Introduction reviews contemporary philosophical debates and introduces what an account of expertise needs to accomplish in order to be believed. Drawing on research from philosophers and sociologists, chapters explore widely held accounts of expertise and uncover their limitations, outlining a set of conceptual criteria a successful account of expertise should meet. By providing suggestions for how a philosophy of expertise can inform practical disciplines such as politics, religion, and applied ethics, this timely introduction to a topic of pressing importance reveals what philosophical thinking about expertise can contribute to growing concerns about experts in the 21st century.
(source: Nielsen Book Data)

• 1. Introduction
• 2. What Experts Do
• 3. Building a Philosophy of Expertise
• 4. Truth-tracking Accounts
• 5. Performance-tracking Accounts
• 6. The Epistemic Facility Account
• 7. Expertise and Disagreement
• 8. The Limits of Expertise Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

What does it mean to be an expert? What sort of authority do experts really have? And what role should they play in today's society? Addressing why ever larger segments of society are skeptical of what experts say, Expertise: A Philosophical Introduction reviews contemporary philosophical debates and introduces what an account of expertise needs to accomplish in order to be believed. Drawing on research from philosophers and sociologists, chapters explore widely held accounts of expertise and uncover their limitations, outlining a set of conceptual criteria a successful account of expertise should meet. By providing suggestions for how a philosophy of expertise can inform practical disciplines such as politics, religion, and applied ethics, this timely introduction to a topic of pressing importance reveals what philosophical thinking about expertise can contribute to growing concerns about experts in the 21st century.
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"Exploring the Philosophy of Death and Dying: Classical and Contemporary Perspectives is the first book to offer students the full breadth of philosophical issues that are raised by the end of life. Included are many of the essential voices that have contributed to the philosophy of death and dying throughout history and in contemporary research. The 38 chapters in its nine sections contain both classic texts (by authors such as Epicurus, Hume, Nietzsche, and Schopenhauer) and new short argumentative essays by world-leading contemporary experts"-- Provided by publisher

• Preface and Acknowledgments Introduction
• 1. Twin Earth and Its Horizons: On Hermeneutics, Reference, and Scientific Theory Choice
• 2. Critical Fusions: Toward a Genuine "Hermeneutics of Suspicion"
• 3. Agency, the "Politics of Memory, " and Reparative Justice: Hermeneutics and the Politics of Development
• 4. Toward a Hermeneutics of Race: Biology, Race, Ethnicity, and Culture
• 5. Concluding Reflections: Toward a New Reconciliation of Hermeneutics and Critical Theory, or Notes Toward a Hermeneutic Democracy Appendix: Toward a Hermeneutics of the Ethical Response Notes Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

Hermeneutics has frequently been dismissed as useful only for literary and textual analysis. Some consider it to be Eurocentric or inherently relativistic and thus unsuited to social critique. Lorenzo C. Simpson offers a persuasive and powerful argument that hermeneutics is a valuable tool not only for critical theory but also for robustly addressing many of the urgent issues of today. Simpson demonstrates that hermeneutics exhibits significant interpretive advantages compared to competing explanatory modalities. While it shares with pragmatism a suspicion of essentialism, an understanding that disagreements are situated, and an insistence on the dialogical nature of understanding, it nevertheless resolutely rejects the relativistic accounts of rationality that are often associated with pragmatism. In the tradition of Gadamer, Simpson firmly establishes hermeneutics as a resource for both philosophy and the social sciences. He shows its utility for unpacking intractable issues in the philosophy of science, multiculturalism, social epistemology, and racial and social justice in the global arena. Simpson addresses fraught questions such as why recent claims that "race" has a biological basis lack grounding, whether female genital excision can be critically addressed without invidious ethnocentrism, and how to lay the foundations for meaningful cross-cultural dialogue and reparative justice. This book reveals how hermeneutics can be a worthy partner with critical theory in achieving emancipatory aims.
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction
• 1: The Aim of Inquiry
• 2: Knowledge
• 3: Conditions on Knowledge
• 4: Understanding
• 5: Epistemic Value
• 6: Scepticism Appendix A Appendix B Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

Inquiry, Knowledge, and Understanding takes inquiry as the starting point for epistemological theorising. It uses this idea to develop new and systematic answers to some of the most fundamental questions in epistemology, including about the nature of core epistemic phenomena (most importantly: knowledge and understanding) as well as their value and the extent to which we possess them. Christoph Kelp argues that knowledge is the constitutive aim of inquiry into specific questions and that understanding is the constitutive aim of inquiry into general phenomena. He shows that these claims shed light on the nature of knowledge and understanding. He develops non-reductive 'network' analyses for both knowledge and understanding which elucidate the nature of knowledge and understanding in terms of their place in inquiry. Activities with constitutive aims, including inquiry, constitute critical domains of value in which the constitutive aim corresponds to a for-its-own-sake value relative to this domain. This study uses this idea to explain which epistemic phenomena are epistemically valuable for their own sake and to develop new solutions to a range of important value problems in epistemology, including the time-honoured Meno problem: knowledge is more valuable than mere true belief because it is the constitutive aim of inquiry, and thus epistemically valuable for its own sake.
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction Igor Douven--
• 1. Rational belief and statistical evidence: blame, bias, and the law Dana Nelkin--
• 2. Knowledge attributions and lottery cases: a review and new evidence John Turri--
• 3. The psychological dimension of the lottery paradox Jennifer Nagel--
• 4. Three puzzles about lotteries Julia Staffel--
• 5. Four arguments for denying that lottery beliefs are justified Martin Smith--
• 6. Rethinking the lottery paradox: a dual processing perspective Igor Douven and Shira Elqayam--
• 7. Rational belief in lottery- and preface-situations: impossibility results and possible solutions Gerhard Schurz--
• 8. Stability and the lottery paradox Hannes Leitgeb--
• 9. The lottery, the preface and epistemic rule consequentialism Christoph Kelp and Francesco Praolini--
• 10. Beliefs, probabilities, and their coherent correspondence Kevin Kelly and Hanti Lin--
• 11. The relation between degrees of belief and binary beliefs: a general impossibility theorem Franz Dietrich and Christian List-- Bibliography-- Index.
• (source: Nielsen Book Data)

We talk and think about our beliefs both in a categorical (yes/no) and in a graded way. How do the two kinds of belief hang together? The most straightforward answer is that we believe something categorically if we believe it to a high enough degree. But this seemingly obvious, near-platitudinous claim is known to give rise to a paradox commonly known as the 'lottery paradox' - at least when it is coupled with some further seeming near-platitudes about belief. How to resolve that paradox has been a matter of intense philosophical debate for over fifty years. This volume offers a collection of newly commissioned essays on the subject, all of which provide compelling reasons for rethinking many of the fundamentals of the debate.
(source: Nielsen Book Data)

"We talk and think about our beliefs both in qualitative terms-as when we say that we believe A, or disbelieve A, or are agnostic about A-and in quantitative terms, as when we say that we believe A to a certain degree, or are more strongly convinced of A than of B. Traditionally, analytic philosophers, especially epistemologists, have focused on categorical (all-or-nothing) beliefs, to the almost complete neglect of graded beliefs. On the other hand, the Bayesian boom that started in the late 1980s has led many philosophers to concentrate fully on graded beliefs; these philosophers have sometimes rejected talk about categorical beliefs as being unscientific and as therefore having no place in a serious epistemology. By now, many regard both approaches as misguided for being entirely one-sided. Both outright beliefs and graded beliefs occupy important places in the phenomenology of belief and they also both occur in much theoretically significant work. Once this is acknowledged, however, the question arises of how the two sorts of beliefs are connected. If anyone were to claim to believe A categorically while at the same time claiming that she deems not-A more likely than A, we would reject this as utterly unreasonable. This is enough to suggest that there must be a close connection between categorical and graded belief"-- Provided by publisher.

• Les Lumières comme interrogation critique et comme processus
• Le projet des Lumières et les anti-Lumières
• Après l'éclipse des Lumières
• Les Lumières à l'âge du vivant
• Raison et domination
• La raison réflexive et la traversée du négatif
• Partir de la Théorie critique
• Généalogie du nihilisme
• Apories anciennes et nouvelles
• La haine du corps et de l'altérité
• Transformer le sujet pour transformer le réel
• Culture de mort versus âge du vivant
• Les Lumières et le vivant
• Phénoménologie du vivant et lumières latérales
• Le monde de la vie
• Le réveil du monde perçu
• L'existence et la vie
• Evolution et histoire
• Individu, variabilité et mortalité
• Contingence et responsabilité
• Schème, épochè civilisationnelle et complexité
• Après les droits de l'homme
• Le procès des droits de l'homme
• Un nouvel humanisme
• L'autonomie retrouvée
• L'émancipation individuelle comme arrachement
• Autonomie et émancipation. L'exemple du féminisme
• S'émanciper de quoi, de qui, comment ?
• De la crise à l'attestation
• Autonomie et monde commun
• Transdescendance, créativité individuelle et imaginaire collectif
• Les paysans, pionniers des Lumières à l'âge du vivant
• Penser le travail et l'éducation à partir de la considération
• Le projet d'une société démocratique et écologique
• L'écologie comme projet d'émancipation
• La démocratie comme société ouverte et ses ennemis
• Le projet d'une société autonome et l'imaginaire instituant
• La force émancipatoire de l'écologie
• Les transformations de la démocratie à l'âge du vivant
• Décentrer la démocratie
• Les Lumières contre le néolibéralisme et le rôle des minorités
• Révolution, violence et résolution
• Technique et monde commun
• Phénoménologie de la technique
• Interroger l'opposition technique/culture
• La technique comme existential
• Schèmes et technique
• Le caractère illimité des moyens et le lien entre la technique et la guerre
• Inhumanité et totalitarisme
• Le transhumanisme comme anti-Lumières
• Une culture pour la technique : obstacles et éducation
• Le décalage prométhéen et le monde d'Eichmann
• Espace, temps et citoyenneté à l'ère digitale
• Complotisme versus considération
• L'Europe comme héritage et comme promesse
• L'Europe entre universalisme et historicité
• Le sens philosophique de l'Europe
• De Socrate à Patoéka. Le soin de l'âme et l'engagement
• Raison et considération
• L'union européenne : son télos, son nômos et son êthos
• Les défis de la construction européenne
• Les grands chantiers d'aujourd'hui et le nouveau télos de l'Europe
• Pensée de midi et cosmopolitique de la considération
• La double amputation de la raison
• Schèmes et civilisation
• Écologie et universalisme en contexte
• Comment défendre les Lumières aujourd'hui ? Leur idéal d'émancipation a-t-il encore un sens ?

"On ne saurait se borner à invoquer un esprit des Lumières immuable dans un contexte marqué par le réveil du nationalisme, les crises environnementales et sanitaires et l'augmentation des inégalités. Faire face au danger d'effondrement de notre civilisation sans renoncer à la rationalité philosophico-scientifique, mais en tenant compte de notre dépendance à l'égard de la nature et des autres vivants : telle est la démarche qui fonde ce livre. Pour combattre les anti-Lumières qui souhaitent rétablir une société hiérarchique ou théocratique et répondre aux accusations des postmodernes qui suspectent tout universalisme d'être hégémonique, il faut donc proposer de nouvelles Lumières. Celles-ci supposent de revisiter l'histoire des Lumières, mais aussi de lutter contre l'amputation de la raison qui a été réduite à un instrument de calcul et d'exploitation. L'objectif des Lumières à l'âge du vivant et de leur projet d'une société démocratique et écologique est bien de destituer le principe de la domination - une domination des autres et de la nature à l'intérieur et à l'extérieur de soi qui traduit un mépris du corps et de la vulnérabilité."--Page 4 of cover.

• 1: Introduction Part I: Non-Factualism
• 2: Against Trivialism and Mere-Verbalism (And Toward a Better Understanding of the Kind of Non-Factualism Argued for in This Book)
• 3: How To Be a Fictionalist About Numbers and Tables and Just About Anything Else
• 4: Non-Factualism About Composite Objects (Or Why There's No Fact Of The Matter Whether Any Material Objects Exists)
• 5: Non-Factualism About Abstract Objects
• 6: Modal Nothingism Part II: Neo-Positivism
• 7: What is Neo-Positivism and How Could We Argue For It?
• 8: Conceptual Analysis
• 9: Widespread Non-Factualism
• 10: A Worldview.
• (source: Nielsen Book Data)

Metaphysics, Sophistry, and Illusion does two things. First, it introduces a novel kind of non-factualist view, and argues that we should endorse views of this kind in connection with a wide class of metaphysical questions, most notably, the abstract-object question and the composite-object question. (More specifically, Mark Balaguer argues that there's no fact of the matter whether there are any such things as abstract objects or composite objects-or material objects of any other kind.) Second, Metaphysics, Sophistry, and Illusion explains how these non-factualist views fit into a general anti-metaphysical view called neo-positivism, and explains how we could argue that neo-positivism is true. Neo-positivism is the view that every metaphysical question decomposes into some subquestions-call them Q1, Q2, Q3, etc.-such that, for each of these subquestions, one of the following three anti-metaphysical views is true of it: non-factualism, or scientism, or metaphysically innocent modal-truth-ism. These three views can be defined (very roughly) as follows: non-factualism about a question Q is the view that there's no fact of the matter about the answer to Q. Scientism about Q is the view that Q is an ordinary empirical-scientific question about some contingent aspect of physical reality, and Q can't be settled with an a priori philosophical argument. And metaphysically innocent modal-truth-ism about Q is the view that Q asks about the truth value of a modal sentence that's metaphysically innocent in the sense that it doesn't say anything about reality and, if it's true, isn't made true by reality.
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction
• Things that don't exist
• Abstract objects
• Possible worlds
• Time
• Time travel
• Substance
• Things and their parts
• Change and identity
• Freedom
• Social metaphysics-gender
• Metaphysics and its critics.

"Metaphysics: The Basics is a concise and engaging introduction to the philosophical study of some of the most important and foundational aspects of the world in which we live. Concerned with questions about existence, time, identity, change, and other basic elements of our common-sense and scientific ways of thinking about the world, metaphysics has long fascinated people. But to the uninitiated, many of the issues and problems can appear bewilderingly complex and intractable. In this lively and lucid book, Michael Rea examines and explains the core questions in the study of metaphysics such as:

"A thorough revision of a successful philosophy anthology on the nature of truth. Intended for advanced students"-- Provided by publisher

• Acknowledgments A Somewhat Dour Introduction
• 1. May You Have My Luck
• 2. Competition
• 3. The Messenger
• 4. Vile Jelly
• 5. The Law of Conservation of Good Things
• 6. A Jaundiced View of Authenticity (and Identity)
• 7. Lord of the Table: Judges and the Last Supper
• 8. Odds and the End
• 9. Epilogue: Go Litel Boke Amidst a Flurry of Auto-Antonyms Works Cited.
• (source: Nielsen Book Data)

In this book, William Ian Miller offers his reflections on the perverse consequences, indeed often the opposite of intended effects, of so-called 'good things'. Noted for his remarkable erudition, wit, and playful pessimism, Miller here ranges over topics from personal disasters to literary and national ones. Drawing on a truly immense store of knowledge encompassing literature, philosophy, theology, and history, he excavates the evidence of human anxieties around scarcity in all its forms (from scarcity of food to luck to where we stand in the eyes of others caught in a game of musical chairs we often do not even know we are playing). With wit and sensitivity, along with a large measure of fearless self-scrutiny, he points to and invites us to recognize the gloomy, neurotic, despondent tendencies of reasonably sentient human life. The book is a careful examination of negative beliefs, inviting an experience of bleak fellow-feeling among the author, the reader and many a hapless soul across the centuries. Just what makes you more nervous, he asks, a run of good luck, or a run of bad?
(source: Nielsen Book Data)

• Preface List of Contributors I. The Value of Consciousness
• 1: Charles Siewert: Consciousness: Value, Concern, Respect
• 2: Roger Crisp: Towards a Global Hedonism
• 3: Diane O'Leary: The Value of Consciousness in Medicine
• 4: Hyunseop Kim: The Emotion of Fulfillment and Its Phenomenology
• 5: Matt Duncan: Experience is Knowledge
• 6: Chris Ranalli: The Special Value of Experience II. Physicalism and Naturalism
• 7: Jonathan Schaffer: Ground Physicalism
• 8: Karen Bennett: Why I Am Not a Dualist
• 9: Lok-Chi Chan: On Characterising Metaphysical Naturalism III. Content
• 10: Adam Pautz: Consciousness Meets Lewisian Interpretation Theory
• 11: Matthew Parrott and Anil Gomes: On Being Internally the Same
• 12: Antti Kauppinen: Relational Imperativism about Affective Valence IV. History of Philosophy of Mind
• 13: Peter Adamson: From Known to Knower: Affinity Arguments for the Mind s Incorporeality in the Islamic World Index.
• (source: Nielsen Book Data)

Oxford Studies in Philosophy of Mind presents cutting-edge work in the philosophy of mind, combining invited articles and articles selected from submissions. Each volume will highlight two themes to bring focus to debates. The series will reflect the diversity of methods adopted in contemporary philosophy of mind and provide a venue for rigorous and innovative work by both established and up-and-coming voices in the field. The themes in this inaugural volume are the value of consciousness, and physicalism and naturalism. Other essays concern the nature of mental content, and dualism in medieval Islamic philosophy.
(source: Nielsen Book Data)

• Les traits essentiels de l'idée de problème
• Le problème et ce qui n'est pas lui
• Problème et énigme
• Problème et mystère
• Problème et question
• De la question au problème : la résistance et l'obstacle
• Ce que nous dit l'étymologie
• En théorie : idoles et autres obstacles épistémologiques
• De mal en patience
• Le "diabolique" du problème
• Une patience ou le temps du problème
• Effort et problème
• De ce qui arrête à ce qui mobilise, ou la fécondité de l'obstacle
• L'emblématique odyssée d'Ulysse
• En théorie : de l'obstacle épistémologique au fait-problème
• Problème et culture
• Une spécificité du problème philosophique ?
• L'idée d'obstacle ou la pensée arrêtée
• Problème et aporie selon Aristote
• Un embarras redoublé
• Paralyser et mobiliser : aporie sophistique vs aporie socratique
• Produire l'obstacle. Trois illustrations
• Une médiation nécessaire ou la pensée déroutée
• Devoir emprunter des détours
• Le mouvement propre du penser
• Entre pléthore et aporie : statut et nature des solutions
• L'embarras du choix : tel est le problème
• Du oui ou non au oui et non
• Contradiction et possibilité
• Une solution sans dissolution ou la pensée relancée
• Spécificités du problème philosophique
• Le critère de l'objet ?
• Un problème posé par un philosophe ?
• Une solution qui laisse subsister le problème ?
• Les éléments spécifiques du problème philosophique
• Du mode d'émergence du problème
• La réalité fait-elle problème ?
• De l'ergon à l'operatio
• La réalité commune ou l'oubli du problématique
• Une pratique de l'invention et du regard
• L'événement de la pensée
• Faire problème
• Une objectivité des problèmes philosophiques
• La théorie poppérienne des "trois mondes"
• Objectivité et autonomie du monde
• Du scientifique au philosophique
• Enquête sur la nature du faux problème
• Ni un non-problème, ni un problème mal posé
• Ce que les problèmes peuvent avoir de "faux"
• Peut-on parler, en philosophie, de faux problèmes ?
• L'insolubilité : un vrai critère du faux problème ?
• De la vérité au sens
• Histoire de la philosophie et historicité des problèmes philosophiques
• L'idée d'une histoire de la philosophie comme histoire des problèmes
• Vers une histoire philosophique de la philosophie
• L'idée d'une problémographie
• Une histoire elle-même problématique
• Les prérequis
• Une identification des problèmes
• Un "temps" philosophique réversible
• Un dialogue entre les philosophes
• L'historicité des problèmes philosophiques
• Persistance vs permanence : l'idée d'une mutation des problèmes
• Histoire succincte de quelques problèmes
• Penser la mutation des problèmes
• Des apparitions et des "disparitions"
• Des ruptures
• Des contextes
• Historicité et transhistoricité
• Qu'est-ce que parler de l'histoire d'"un" problème ?
• Qu'est-ce que parler de "transhistoricité" ?
• Signification philosophique du problème et insuffisance des solutions
• Persistance et pertinence
• Conclusion : dépayser la pensée.

"Les problèmes que nous rencontrons relèvent de registres les plus variés : individuel ou collectif, théorique ou matériel. Qu'ils nous "tombent dessus" au quotidien ou qu'ils soient élaborés par un scientifique, ils révèlent les limites de notre compréhension, de notre savoir ou de notre savoir-faire. Mais ces obstacles attestent en même temps, en la stimulant, notre capacité à nous interroger et à mobiliser nos ressources. La philosophie n'a nullement le monopole du problème. Mais l'activité de produire et d'examiner des problèmes lui est consubstantielle. Il s'agit dans cet ouvrage d'instruire une spécificité du problème philosophique. Cette caractérisation conduit Philippe Danino à interroger la pertinence d'une histoire de la philosophie conçue à l'aune de l'idée même de problème. Enquêter sur la nature du problème philosophique, autrement dit questionner le questionnement, c'est rencontrer l'exigence fondamentale de la philosophie. Aussi cette dernière manquerait en quelque sorte à elle-même si elle ne s'interrogeait sur ce qu'elle fait en interrogeant, si elle ne tâchait d'éclairer les ressorts et la signification du questionnement humain. Une invitation à produire une pensée capable de se mobiliser elle-même contre les fallacieuses adhésions et à se donner un devoir de patience. Dépayser la pensée", selon le mot de l'auteur."--Page 4 of cover.

• Acknowledgements Abbreviations
• Introduction
• 1 Historical Setting
• 2 Authors and Sources
• 3 Methodology
• 4 Contents in Brief
• 5 How to Use This Study?
• 6 A Note about Translations
• 1 Terminology
• 1 Basic Terminology: Political, Conjugal, and Domestic
• 2 Political or Social Animal?
• 3 Later Developments
• 2 Needs, Desires, and Natural Inclinations
• 1 Preservation of Oneself and the Species
• 2 Inclination and the Body That Makes Us Social
• 3 Reflections on Mirrors of Princes
• 4 Instrumental Role of the Community
• 5 Cities and beyond
• 3 Good Life, Virtue, and Human Sociability
• 1 Good Life and Virtue
• 2 Aims of Individuals and the Community
• 3 Social Role, Prudence, and Virtue
• 4 Is Practical Happiness for Everyone? Virtue and Prudence of Citizens
• 5 Prudence of Slaves (and Women)
• 6 Craftsman qua Craftsman qua Human
• 7 Happiness and Morality
• 4 Reason and Language
• 1 Naturalness of Language
• 2 Language and Justice
• 3 Creating Communities
• 4 Purpose of the Linguistic Argument
• 5 The Social and Political Nature of Animals
• 1 The Ant, the Bee, and the Crane
• 2 Forget the Bee: Truncating the Linguistic Argument
• 3 No Animal Is Political
• 6 Beasts, Gods, and Human Beings
• 1 Part/Whole Metaphysics
• 2 Solitary Humans
• 3 What Is It Like to Be a God?
• 4 Ways of Being Wild
• 5 The Normative Scale: Above and below Beasts
• Conclusion
• Appendix Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

In The Political Animal in Medieval Philosophy Juhana Toivanen investigates what medieval philosophers meant when they argued that human beings are political animals by nature. He analyses the notion of 'political animal' from various perspectives and shows its relevance to philosophical discussions concerning the foundations of human sociability, ethics, and politics. Medieval authors believed that social life stems from the biological and rational nature of human beings, and that collaboration with other people promotes prosperity and good life. Toivanen provides a detailed philosophical interpretation of this view across a wide range of authors, including unedited manuscript sources. As the first monograph-length study on the topic, The Political Animal sheds new light on this significant period in western political thought.
(source: Nielsen Book Data)

• Why World Philosophies? : Standard Comparisons and Global Concerns
• World Philosophies and Global Concerns
• Conclusion: Moving Forward
• Brief Chapter Overview
• World Philosophies in Historical Perspective: Racism and Development of Academic Philosophy in the Eighteenth Century
• Racism and Philosophy Today
• Philosophy in Translation
• Conclusion: Moving Forward
• Relational Knowing, Self-Making and the Study of World Philosophies: Why a Relational Knower?
• What is a Relational Knower?
• Power Dynamics in Relational Knowing
• Potential of Relational Knowing in Studying World Philosophies
• Conclusion: Moving Forward
• Knowing the World, World-Making and the Study of World Philosophies: Knowing the World Relationally
• African Personhood and Knowing
• Knowing and Labelling the World of Philosophies
• Conclusion: Moving Forward
• Knowing Relationally and Making Knowledge: Presentist Concerns and Knowledge Making
• Inheritance and Representation, or Actors and Scholars
• The Making of Islamic Philosophy
• The Making of Indian Philosophy
• Summary of the Book: Study Guide Material

Traditions throughout the world and across history have tackled fundamental questions about the human condition. This one-of-a-kind guide shows how these different philosophies can be effectively studied together. Monika Kirloskar-Steinbach's and Leah Kalmanson's introduction marks a break from conventional approaches. Instead of assuming philosophy has always operated with a single, easily identifiable conceptual framework across space and time, which we call-and have always called-philosophy, they attest to the plurality of concepts and methods adopted at different times and places. The book serves as a practical teaching guide to the theoretical and methodological diversification of philosophy as practiced in academia today. Complementing the Bloomsbury Introductions to World Philosophies series, it covers a variety of traditions featured in the book series, exploring how Anglo-American, Chinese, Indian, African, Islamicate, and Maori thinkers have all addressed fundamental questions such as: How do we understand ourselves and our relations to others? How do we understand our world? How do we seek knowledge, share knowledge, and, importantly, intervene in the norms of received knowledge when needed? Featuring teaching notes, discussion questions, and a list of further reading, this is a book packed with the background, guidance, and tools required to teach different philosophies. Through it we come to see why making room for different conceptual frameworks improves our understanding of ourselves and the worlds we live in. -- Provided by publisher.
"Offering a teaching guide for instructors looking to broaden their view of philosophy, diversify their teaching, or discover a new way of thinking about our place in the world, this book explores how Anglo-American, Chinese, Indian, African, Islamic, and Maori thinkers have all addressed fundamental questions in philosophy. Featuring teaching notes, discussion questions, and a list of further reading, this is a book packed with the background, guidance, and tools required to teach different philosophies"-- Provided by publisher.

• Abbreviations Introduction
• 1: Hobbes's Argument for the Practical Necessity of Colonization
• 2: Practical Necessity and History I: Rousseau's Second Discourse
• 3: Practical Necessity and History II: Kant on Universal History
• 4: Hegel and Marx on the Necessity of the Terror
• 5: Practical Necessity, Ethical Freedom, and History: Hegel's Philosophy of Right
• 6: The Compatibility of Freedom and Necessity in Marx's Idea of Communist Society
• 7: Practical Necessity and Historical Necessity in Historical Materialism Bibliography.
• (source: Nielsen Book Data)

By means of careful analysis of relevant writings by Hobbes, Rousseau, Kant, Hegel, and Marx, David James argues that the concept of practical necessity is key to understanding the nature and extent of human freedom. Practical necessity means being, or believing oneself to be, constrained to perform certain actions in the absence (whether real or imagined) of other, more attractive options, or by the high costs involved in pursuing other options. Agents become subject to practical necessity as a result of economic, social, and historical forces over which they have, or appear to have, no effective control, and the extent to which they are subject to it varies according to the amount of economic and social power that one agent possesses relative to other agents. The concept of practical necessity is also shown to take into account how the beliefs and attitudes of social agents are in large part determined by social and historical processes in which they are caught up, and that the type of motivation that we attribute to agents must recognize this. Practical Necessity, Freedom, and History: From Hobbes to Marx shows how Rousseau, Kant, Hegel, and Marx, in contrast to Hobbes, explain the emergence of the conditions of a free society in terms of a historical process that is initially governed by practical necessity. The role that this form of necessity plays in explaining history necessity invites the following question: to what extent are historical agents genuinely subject to both practical and historical necessity?
(source: Nielsen Book Data)

• Introduction--
• 1. Substitution in a Sense--
• 2. The Term/Predicate Distinction--
• 3. Ramsey's Challenge--
• 4. Two Types of Reference--
• 5. The Reference Principle--
• 6. Fregean Realism--
• 7. Fregean Nominalism--
• 8. Some
• 9. The Concept Horse Paradox--
• 10. The Metaphysics Exam--
• 11. States of A airs--
• 12. The Prenective View of Propositional Content--
• 13. On Content and Object--
• 14. The Identity Theory of Truth-- References-- Index.
• (source: Nielsen Book Data)

This book articulates and defends Fregean realism, a theory of properties based on Frege's insight that properties are not objects, but rather the satisfaction conditions of predicates. Robert Trueman argues that this approach is the key not only to dissolving a host of longstanding metaphysical puzzles, such as Bradley's Regress and the Problem of Universals, but also to understanding the relationship between states of affairs, propositions, and the truth conditions of sentences. Fregean realism, Trueman suggests, ultimately leads to a version of the identity theory of truth, the theory that true propositions are identical to obtaining states of affairs. In other words, the identity theory collapses the gap between mind and world. This book will be of interest to anyone working in logic, metaphysics, the philosophy of language or the philosophy of mind.
(source: Nielsen Book Data)

"Philosophy is intriguing even to those who know little of it. But the sort of philosophy studied at universities is difficult to enter into on one's own. Reading Philosophy was designed to overcome this difficulty. It is a book for those who want genuinely to engage with the subject, either on their own or in the context of taught introductory courses"-- Provided by publisher.

Any realist metaphysics must include an integrated account of the transcendentals and the analogy of being, for an adequate metaphysics must be about everything, and all things share in some key metaphysical characteristic-being, unity, truth, goodness, and beauty. However, they do not share in them in exactly the same way. Therefore, there is need to explain the transcendental characteristics in an analogical way. By using the phrase "transcendental analogies, " Reason, Revelation and Metaphysics claims that there are analogies of unity, truth, goodness, and beauty, which are related to, but irreducible to, the analogy of being. As this book is a systematic study of the topic, theoretical reason has primacy in the project and metaphysics is given pride of place. But reason is practical and aesthetic as well; that is, our consciences urge us to seek what is good, and we are delighted by what is beautiful. Although goodness and beauty are not reducible to truth, they must be included in any adequate metaphysical account, for metaphysics looks to explain everything. Although metaphysics is traditionally thought to be a philosophical project involving ontology and natural theology, Montague Brown argues that an adequate metaphysics must ultimately be theological, including within its scope the truths of revelation. Philosophical reason's examination of the transcendental analogies raises questions that it cannot answer. We experience a world of many beings, truths, goods, and beauties. Recognizing that these many instances have something in common, we affirm a transcendent instance of each (traditionally called God). However, although we know that a transcendent instance exists, we do not know its nature: therefore, we cannot say how it is related to the other instances. If we try to apply this transcendent instance as the prime analogate to shed light on the other analogates, we must fail, for the abstractness and universality of the transcendent instance can add nothing to our understanding of the particular instances. Wanting to know how the many exist and are related, philosophical reason finds no way forward and recognizes its need for help. It is the thesis of this book that reason finds this help only in the revelation of the God's covenantal relation with the world. The first principle of all things-most perfectly revealed in Jesus Christ, perfect God and perfect man-is really and freely related to us. Only by accepting this revealed prime analogate can the transcendental analogies bear fruit in our ongoing quest for understanding.
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• Benjamin Hill, Henrik Lagerlund, and Stathis Psillos: Introduction
• 1: Stathis Psillos: The Inherence and Directedness of Powers
• 2: Calvin G. Normore: Powers, Possibilities and Time: Notes for a Program
• 3: Henrik Lagerlund: Aristotelian Powers, Mechanism, and Final Causes in the Late Middle Ages
• 4: Deborah Brown: Agency, Force, and Inertia in Descartes and Hobbes
• 5: Benjamin Hill: The Ontological Status of Causal Powers: Substances, Modes, and Humeanism
• 6: Walter Ott: The Case Against Powers
• 7: Andreas Huttemann: The Return of Causal Powers?
• 8: Lisa Downing: Qualities, Powers, and Bare Powers in Locke
• 9: Peter Millican: Hume on Causation and Causal Powers
• 10: Jennifer McKitrick: Resurgent Powers and the Failure of Conceptual Analysis
• 11: Brian Ellis: Causal Powers and Structures
• 12: Howard Sankey: Induction and Natural Kinds Revisited.
• (source: Nielsen Book Data)

Causal powers are returning to the forefront of realist philosophy of science. Once central features of philosophical thinking about the natures of substances and causes, they were banished during the early modern era and the Scientific Revolution. In this volume, distinguished scholars revisit the fortunes of causal powers as scientific explanatory principles within the theories of substance and cause across history. Each chapter focuses on the philosophical roles causal powers were thought to play at the time, and the reasons offered in support, or against, their coherence and ability to perform these roles. By placing rigorous philosophical analyses of thinking about causal powers within their historical contexts, features of their natures which might remain hidden to contemporary practitioners can be more readily identified and more carefully analyzed. The thoughts of such prominent philosophers as Aristotle, Scotus, Ockham, and Buridan are explored, then on through Suarez, Descartes, and Malebranche, to Locke and Hume, and ultimately to contemporary figures like the logical positivists Goodman and Lewis.
(source: Nielsen Book Data)

• Frequently Cited Texts Introduction
• 1. Benjamin's Hard Caesura: The Hopeful Narrator of Elective Affinities
• 2. Adorno's Hard Caesura: The Impassive Homeric Narrator
• 3. Adorno's Soft Caesura: The Immanent Utopia of Penelope's Remark
• 4. Benjamin's Soft Caesura: The Immanent Utopia of the Embedded Novella Conclusion Acknowledgments Notes Bibliography Index.
• (source: Nielsen Book Data)

Walter Benjamin and Theodor Adorno both turned to canonical literary narratives to determine why the Enlightenment project was derailed and how this failure might be remedied. The resultant works, Benjamin's major essay on Goethe's Elective Affinities and Adorno's meditation on the Odyssey in Dialectic of Enlightenment, are centrally concerned with the very act of narration. Marton Dornbach's groundbreaking book reconstructs a hitherto unnoticed, wide-ranging dialogue between these foundational texts of the Frankfurt School.At the heart of Dornbach's argument is a critical model that Benjamin built around the concept of caesura, a model Adorno subsequently reworked. Countering an obscurantism that would become complicit in the rise of fascism, the two theorists aligned moments of arrest in narratives mired in unreason. Although this model responded to a specific historical emergency, it can be adapted to identify utopian impulses in a variety of works. The Saving Line throws fresh light on the intellectual exchange and disagreements between Benjamin and Adorno, the problematic conjunction of secular reason and negative theology in their thinking, and their appropriations of ancient and modern legacies. It will interest scholars of philosophy and literature, critical theory, German Jewish thought, classical reception studies, and narratology.
(source: Nielsen Book Data)

This is an open access title available under the terms of a CC BY-NC-ND 4.0 International licence. It is free to read at Oxford Scholarship Online and offered as a free PDF download from OUP and selected open access locations.0The Shape of Agency offers interlinked explanations of the basic building blocks of agency, as well as its exemplary instances. The first part offers accounts of a collection of related phenomena that have long troubled philosophers of action: control over behaviour, non-deviant causation, and intentional action. These accounts build on earlier work in the causalist tradition, and undermine the claims made by many that causalism cannot offer a satisfying account of non-deviant causation, and therefore fails as an account of intentional action. The second part turns to modes of agentive excellence-ways that agents display quality of form-providing a novel account of skill, including an account of the ways that agents display more or less skill. Shepherd discusses the role of knowledge in skill, and concludes that while knowledge is often important, it is inessential. This leads to a discussion of the way that knowledge of action and knowledge of how to act informs action execution. Knowledgeable action includes a unique epistemic underpinning: in knowledgeable action, the agent has authoritative knowledge of what she is doing and how she is doing it when and because she is poised to control her action by way of practical reasoning

"Working from the Bible to contemporary art, Shibboleth surveys the politics of border crossings, the policing of identities, and the linguistic performances on which such actions depend. In the Book of Judges, the Gileadites use the word shibboleth to target and kill members of a closely related tribe, the Ephraimites, who cannot pronounce the initial shin phoneme. In modern European languages, shibboleth has come to mean a hard-to-falsify sign that winnows identities and establishes and confirms borders. It has also acquired the ancillary meanings of slogan or cliché. The semantic field of shibboleth thus seems keyed to the waning of the logos in an era of technical reproducibility-to the proliferation of technologies and practices of encryption, decryption, exclusion and inclusion that saturate modern life. The various phenomena we sum up as neoliberalism and globalization are unimaginable in the absence of shibboleth-technologies. In the context of an unending refugee crisis and a general displacement, monitoring and quarantining of populations within a global regime of technics, Paul Celan's subtle yet fierce reorientation of shibboleth merits scrupulous reading. This book interprets the episode in Judges together with Celan's poems and Jacques Derrida's reading of them, as well as passages from William Faulkner's Absalom! Absalom! and Doris Salcedo's 2007 installation Shibboleth at the Tate Modern. Redfield pursues the track of shibboleth: a word to which no language can properly lay claim-a word that is both less and more than a word, that signifies both the epitome and the ruin of border control technology, and that thus, despite its violent role in the Biblical story, offers a locus of poetico-political affirmation"-- Provided by publisher.

• Introduction
• Famous thought experiments
• Time travel
• Mathematics, infinity, and the big bang
• Politics
• Risk, odds, bravery, and ethics
• Identity
• Ethics
• Meta-mathematics and meta-language
• Conclusion.

"Thought experiments do not require a laboratory and need no funding, yet they are responsible for several major intellectual revolutions throughout history. Given their importance, and the way that they immediately engage students, it is surprising that thought experiments are not used more frequently as teaching tools in the academic disciplines. Thought Experiments: History and Applications for Education explains how thought experiments developed and shows how thought experiments can be applied to subjects as varied as theoretical physics, mathematics, politics, personal identity, and ethics. Teachers at all levels and in all disciplines will discover how to use thought experiments effectively in their own classrooms"-- Provided by publisher.

• Chapter 1: We in Korean? Why
• Chapter 2: We in Korean
• Chapter 3: Self in Korean
• Chapter 4: Self as Subject
• Chapter 5: Self in Pre-subjective Relation
• Chapter 6: Self-in-Relation and Pre-subjective We: Mathematical Representation
• Chapter 7: We in Diagrams
• Chapter 8: Primacy of We?
• Chapter 9: Notion of Relation
• Chapter 10: Feelings and Corporeality
• Chapter 11: Collective Memory: Boundary, Place, and Home
• Chapter 12: Epilogue. Violence of the We.
• (source: Nielsen Book Data)

We and Ouri argues that we-ness should be approached not only from a self-centered or a self-less point of view, in which the we is only either a collection of individuals or an anonymous whole, but should be based on 'relation.' This relation is pre-subjective, meaning that the conscious, reflective, subjective self is not the conceptual basis of the relation. The irreducible metaphysical distinction between self and other is always there, but the awareness of it is not prior to this relation, which is an ontological pre-condition of self. The author argues that the distinction and unity of self and other in this relation can be comprehended spatially by applying knot logic. The author analyzes certain linguistic practices in Korean to show one representation of pre-subjective we-ness in language, but not in an ethnographical manner. By doing so, the author criticizes and challenges the Eurocentric tendency of philosophy and seeks to expand the diversity in philosophy.
(source: Nielsen Book Data)

• Préface d'Alain Connes
• Premier survol temporel
• La durée
• Le présent
• La tension et le va-et-vient
• Les fibres
• Intermède musical
• Passage du temps, entropie, transmission
• Il y a partout du présent
• Le présent se "casse"
• Si rien ne passe, rien ne se passe
• Le passé
• Le futur n'est pas commandé
• Proust, un feuilletage du passé
• Temps vécu ou invivable
• Nostalgie
• Le symptôme bloque du temps
• L'attente et l'identité
• Sentir le temps
• Avoir du temps
• Existence du temps
• Le temps se compte et se raconte
• Temps et création
• Le temps de l'oeuvre, le moment Picasso,
• Temps et variabilité
• L'irrépétable
• Temps et inconscient
• Clinique du temps
• Le temps de la cure
• La fin de l'analyse
• Les objets-temps
• L'oeuvre d'art est un objet-temps
• L'autre temps n'est pas le temps apparent
• Intermède sur le vieillissement
• Déroulement héraclitéen
• Coïncidences et hasard
• Surréalisme
• Grillage de temps et institution
• Gens pressés et temps obsessionnel
• Arrêt du temps et angoisse
• L'après-coup
• Rituels, mythe et création
• Temps d'être
• Deux gestes temporels
• Le temps comme forme de l'être
• Le voyage et le temps
• Prises du temps
• Origine, coupure et loi.

"Le temps : quoi de plus familier ? quoi de plus insaisissable ? Daniel Sibony en donne dans ce livre des aperçus pénétrants. Il est question du temps complexe et rationalisé de la physique ou de la métaphysique, abordées sans lourdeur, mais non sans payer son tribut au mystère. Il est question aussi du temps de la mémoire et de la nostalgie, cet "effort pour remonter le désir épuisé vers les lieux d'autrefois où il était plein de lui-même ; comme des poissons remontent le flux vers des lieux où se reproduire". Au fil des pages, Daniel Sibony dit la place qu'occupe le temps dans nos vies : chacun est concerné, entre le désir de "prendre son temps", la crainte d'être "pris" par le temps et l'angoisse de vieillir. Le propos est riche des multiples ressources de l'auteur : mathématicien, physicien, théologien, psychanalyste exposant des cas très parlants. Avec un art consommé du verbe, il exploite en virtuose la façon propre qu'a le langage d'ensemencer et d'éclairer la réflexion. Rien d'étonnant si, dans sa préface, le grand mathématicien Alain Connes invite à lui prêter "la plus grande attention"."--Page 4 of cover.

• PrefaceJose L. Falguera and Concha Martinez-Vidal
• 1. Introduction: Recent disputes on the existence on abstract objects: an overviewMatteo Plebani Part I. Enhanced Indispensability and Type Theories2. Purely Physical Explananda: Bistability in PerceptionSam Baron
• 3. Description, Explanation and Ontological CommitmentConcha Martinez-Vidal and Navia Rivas-de-Castro
• 4. Typed Object TheoryEdward Zalta Part II. Fictionalism or Realism in Philosophy of Mathematics5. Contingent Abstract ObjectsOtavio Bueno
• 6. Is There a Fact of the Matter about the Existence of Abstract Objects?Mary Leng Part III. Fictionalism or Realism in Philosophy of Empirical Sciences7. An ensemble-plus-standing-for account of scientific representation: no need for (unnecessary) abstract objectsJose A. Diez
• 8. The Nature of Scientific Models: Abstract Artifacts that Determine Fictional SystemsXavier de Donato-Rodriguez and Jose L. Falguera
• 9. The Scope and Power of Abstraction in ScienceStathis Psillos
• 10. Models and DenotationFiora Salis, Roman Frigg, and James Nguyen Part IV. Fictionalism or Realism in Philosophy of Language11. Fictional Co-identification: The Explanatory Lightweight of RealismManuel Garcia-Carpintero
• 12. What is the difference between Hamlet and me? Fiction, metaphysics and the nature of our moral thinkingSofia Miguens
• 13. Abstract Objects and the Core-Periphery Distinction in the Ontological and Conceptual Domain of Natural LanguageFriederike Moltmann
• 14. How to Vindicate (Fictional) CreationismAlberto Voltolini Part V. Fictionalism or Realism in Moral Philosophy and Philosophy of Arts15. Moral Folkism and the Deflation of (Lots of) Normative and MetaethicsMark Balaguer
• 16. Methodology in the ontology of artworks: exploring hermeneutic fictionalismElisa Caldarolo
• 17. A Realist-Friendly Argument for Moral Fictionalism: Perhaps You'd Better Not Believe ItChristopher Jay.
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This volume examines the question "Do abstract objects exist?", presenting new work from contributing authors across different branches of philosophy. The introduction overviews philosophical debate which considers: what objects qualify as abstract, what do we mean by the word "exist" and indeed, what evidence should count in favor or against the thesis that abstract objects exist. Through subsequent chapters readers will discover the ubiquity of abstract objects as each philosophical field is considered. Given the ubiquitous use of expressions that purportedly refer to abstract objects, we think that it is relevant to attend to the controversy between those who want to advocate the existence of abstract objects and those who stand against them. Contributions to this volume depict positions and debates that directly or indirectly involve taking one position or other about abstract objects of different kinds and categories. The volume provides a variety of samples of how positions for or against abstract objects can be used in different areas of philosophy in relation to different matters.
(source: Nielsen Book Data)

In Almost Over, F. M. Kamm presents a wide-ranging philosophical discussion of the moral, legal, and medical issues related to aging, dying, and death. She begins by considering different views about whether and why death is bad for the person who dies and what these views imply about the death of humanity. She then considers whether there are conditions under which it might make sense to deliberately bring a person's death about, given the processes of aging and dying that precede it. In the opinion of some it is not only serious illness but ordinary aging that may give rise to this question and Kamm pays particular attention to the various ways in which aging could affect the distribution of "goods" and "bads" in a particular life. Specifically, she considers how the limitations and changes due to aging and the dying process affect meaning in one's life, and whether the absence of meaning affects the reasonableness of not resisting or even seeking one's death. Kamm explores these questions not only as they relate to individuals' decisions but also as they relate to public policy and state action. Recently attempts have been made to help the general public think about end-of-life issues by devising questionnaires and conversation guides; Kamm evaluates some of these resources and articulates the moral implications of the assumptions they make about aging, dying, and value. She also takes up the issue of physician-assisted suicide as a way of ending one's life, considering its moral permissibility and whether or not it ought to be legalized as a matter of public policy. In doing so, she examines arguments from discussions about capital punishment concerning state action and also methods of balancing costs and benefits (including cost effectiveness analysis). In her analysis, Kamm engages with the views of such prominent philosophers, medical doctors, and legal theorists as Shelly Kagan, Susan Wolf, Atul Gawande, Ezekiel Emanual, and Neil Gorsuch, among others, shedding new light on conversations about the moral complexities and consequences of aging, dying, and death.
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• Introduction : Les paradoxes du dualisme entre nature et raison
• Les sciences naturelles dé l'humain
• Historicité du concept de nature
• L'irréductibilité des normes
• L'idée de seconde nature
• De la seconde nature à la nature : un naturalisme pluraliste
• Plan de l'ouvrage
• Naturalité de la vertu. le modèle de l'éthique aristotélicienne
• Les deux espèces de vertu
• La perception morale
• Le caractère moral
• Tentatives de biologisation de la vertu
• Naturalité et rationalité de la vertu
• Le non-relativisme d'une éthique de la vertu
• L'histoire naturelle de l'être humain. Dans le sillage de Wittgenstein
• La mythologie de la machine rigide
• Quel est le paradoxe de la règle ?
• Pratiques et interprétation
• Apprendre à suivre des règles
• Suivre une règle est naturel
• Confiance et vertige
• Mcdowell : la raison comme seconde nature
• De l'histoire naturelle à la seconde nature
• La seconde nature, dépassement de la simple nature
• La Bildung réalise la véritable nature de l'être humain
• L'esprit incarné
• La seconde nature objective
• La dialectique de la seconde nature
• Des animaux
• Animaux humains et non humains : l'absence de dénominateur commun
• Deux modes d'existence : ouverture et enfermement
• L'animal-machine ou la permanence du dualisme
• Subjectivité animale et subjectivité humaine
• L'impossible objectivation de la subjectivité animale
• L'échec de la seconde nature : la profondeur du dualisme
• La vie dans le langage
• Formes de vie
• Entrer dans le langage : les certitudes premières
• Comparaisons entre humains et animaux
• Le suivi des règles dans les sociétés animales
• Jeux de langage
• Conclusion : l'esprit naturaliste.

"Comment, du petit animal qu'il est quand il naît, l'être humain devient-il un être capable de suivre des règles ? C'est à ce paradoxe que s'intéresse ce livre. Écartant les tentatives contemporaines de réduire t'être humain à sa biologie aussi bien que celles qui en font une exception au sein du monde animal, Anne Le Goff nous invite à penser t'être humain comme un animal, un animal dont la vie se trouve dans le langage et les normes. Elle mène cette recherche en discussion critique avec l'oeuvre de John McDowell, dont te concept de seconde nature, montre-t-elle, reste entravé par te dualisme qu'il entend dépasser. C'est d'abord en revenant à l'analyse aristotélicienne de la vertu qu'on peut donner sens à l'idée d'animal moral et rationnel. Le tout est de comprendre qu'il n'y a pas là de contradiction, comme les termes contemporains pourraient le laisser supposer. En suivant Wittgenstein et à la lumière de travaux d'éthologie, l'ouvrage s'attache à montrer en quel sens suivre des règles fait partie de notre nature. La vie morale n'est pas l'existence d'un être sorti hors de la nature mais celle d'un animal dont la vie est de part en part traversée par le langage et les normes."--Page 4 of cover.

• Raison de l'apocalypse
• Apologies : du désastre (en guise d'avertissement)
• Simulacres du nucléaire
• Tétralogies de la déception
• Réversions : fiction de savoir, savoir de fiction
• (Dés)illusions du "toujours déjà"
• Dissuasions
• Phénoménologies de la déception
• Feu, le nucléaire : (ir)réalités
• Apocalypse de l'apocalypse
• Apocalypse (sans) apocalypse
• Prière d'insérer
• L'in-jonction de la voix
• Sans indemnités
• Sans : "without"
• Sans interruption : couper court
• Pas l'un sans l'autre
• Brûler de savoir : l'hyperbole du sans
• Apocalypse de la raison
• Prétentions : se rendre à la raison
• (In)suffisances du principe de raison
• La raison dépareillée ?
• Dés-astres : la fin des conceptions du monde
• Dis-locations
• Des fins de la représentation
• Le désappointement de la raison
• Post-mortem : les voix de la déception
• Sérénités : "ce n'est pas la fin du monde"
• "Raisonnances"
• Iconographie : "Les sept sceaux de l'Apocatypse"
• Bibliographie indicative.

"Cette étude se place à la croisée de trois auteurs qui laissent entrevoir, à l'horizon du nucléaire, la persistance d'un même questionnement autour du concept inattendu de "déception". Le nucléaire, qui semble accompagné par une multiplication sans retour des discours sur la fin, emporte jusqu'à l'idée même de fondement, exposant la raison à l'effondrement de son "principe" et entraînant le "désappointement" du programme rationnel de la modernité. La raison semble alors incapable de se soustraire au règne du simulacre qui "instrumentalise les idées mais ne les pense plus" (Levinas). Face à la recrudescence des discours catastrophistes, il s'agira alors de "démystifier l'apocalypse" et "l'alternative du tout ou rien qui transforme en un pouvoir quasi mystique l'arme de l'atome" (Blanchot). Derrida, Blanchot et Levinas, proposeront trois analyses qui semblent nous "dissuader" de penser le phénomène nucléaire selon le critère d'une vérité conventionnelle car il se présente sous les traits d'une "apocalypse sans apocalypse, sans révélation de sa propre vérité, sans savoir absolu" (Derrida). Trois apologies paradoxales qui élèvent le désastre nucléaire au rang de principe "d'époque", tout en suspendant ce geste dans l'insignifiance d'une absence de révélation et l'effondrement du sens, exposant la pensée à une "déception", un "dessaisissement", qui s'avèrent essentiels à son renouveau. Il semblait d'autant plus important, à l'heure de la post-vérité, d'analyser cette éthique de la déception qui reconduit la raison hégémonique à sa "fission" inhérente."--Page 4 of cover.